Libellé préféré : hypertrophie;
Synonyme SNOMED : hypertrophique; augmentation anormale du volume;
Identifiant d'origine : M-71000;
CUI UMLS : C0020564;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Décrit
Type(s) sémantique(s)
N2-AUTOINDEXEE
Vêtements de compression pour la prévention des cicatrices hypertrophiques après une
brûlure
https://www.cochrane.org/fr/CD013530/WOUNDS_vetements-de-compression-pour-la-prevention-des-cicatrices-hypertrophiques-apres-une-brulure
Principaux messages - Nous ne savons pas si la thérapie par vêtements de compression
est plus efficace que d'autres options de traitement des cicatrices (par exemple,
gel/feuilles de silicone, massage à la lanoline) pour prévenir une cicatrice anormalement
épaisse et surélevée (cicatrice hypertrophique). - Les études futures devraient inclure
un plus grand nombre de participants suivis sur une plus longue période, rendre compte
clairement de toute absence de traitement proposé en parallèle ou en remplacement
de la thérapie par vêtements de compression, et mesurer les critères de jugement les
plus importants pour les personnes souffrant de brûlures.
2024
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
hypertrophie
intervention préventive
brûlure
compression
pendant ou après
tampons chirurgicaux
vêtement de compression
compression
vêtements
cicatrice de brûlure
cicatrice hypertrophique
étude de prévention
brûlures
effet secondaire de brûlure
cicatrice hypertrophique
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N2-AUTOINDEXEE
Thérapie au laser pour les cicatrices hypertrophiques et chéloïdes
https://www.cochrane.org/fr/CD011642/WOUNDS_therapie-au-laser-pour-les-cicatrices-hypertrophiques-et-cheloides
Qu'étudie cette revue ? Les cicatrices hypertrophiques et chéloïdes sont des cicatrices
en relief et bosselées qui se forment lorsqu'une plaie ne guérit pas correctement.
Ces cicatrices peuvent être décolorées ou rougies et peuvent également provoquer des
douleurs et des démangeaisons. Une gamme de traitements est disponible, notamment
des gels de silicone et des stéroïdes. La thérapie au laser pourrait être un traitement
alternatif pour ces types de cicatrices. Au cours de la thérapie au laser, des zones
de la peau sont ciblées par un puissant faisceau de lumière qui peut décomposer les
tissus endommagés. Différents types de thérapie laser sont disponibles en fonction
du type de peau du patient et de la nature de la cicatrice. La thérapie au laser est
coûteuse et a des effets secondaires potentiellement dangereux, il est donc important
d'établir si elle est sûre et efficace.
2022
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
thérapie
Hypertrophie
laser
chéloïde
thérapie laser
cicatrice hypertrophique
Chéloïde
hypertrophie
chéloïde
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N2-AUTOINDEXEE
La feuille de gel de silicone dans le traitement des cicatrices hypertrophiques
https://www.cochrane.org/fr/CD013357/WOUNDS_la-feuille-de-gel-de-silicone-dans-le-traitement-des-cicatrices-hypertrophiques
Une cicatrice est une marque laissée sur la peau après la guérison d'une plaie ou
d'une blessure, par exemple après une opération ou une brûlure. La plupart des cicatrices
s'atténuent et deviennent plus pâles avec le temps, mais certaines cicatrices pourraient
devenir rouges et en relief (appelées cicatrices hypertrophiques). Les cicatrices
hypertrophiques pourraient mettre plusieurs années à s’aplatir et à s'estomper. Les
cicatrices peuvent provoquer des démangeaisons, être douloureuses ou inesthétiques,
et pourraient limiter les mouvements. Les cicatrices peuvent avoir un impact physique
et émotionnel, et peuvent retentir négativement sur le bien-être.
2021
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Toilettes
silicone
Hypertrophie
cicatrice hypertrophique
feuilles
gel
gels de silicone
hypertrophie
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N3-AUTOINDEXEE
L'hypertrophie bénigne de prostate: évaluation des pratiques en médecine générale,
diffusion et impact des recommandations
https://archive.bu.univ-nantes.fr/pollux/show/show?id=2b4d0d7b-2bc7-4f9f-8ec7-02d7c8b01c8c
Introduction : Le médecin généraliste est le premier acteur dans la prise en charge
des patients atteints d'une hypertrophie bénigne de prostate. En 2015, l'Association
Française d'Urologie a publié un guide de prise en charge destiné aux médecins généralistes.
Notre objectif est d'évaluer les pratiques médicales des médecins généralistes vis-à-vis
de cette pathologie ainsi que la diffusion du guide et son impact six ans après sa
publication. Méthodes : Entre mars et mai 2021, un questionnaire anonyme spécifiquement
réalisé a été diffusé via un formulaire en ligne aux médecins généralistes en France
par l'intermédiaire des conseils départementaux de l'ordre et auprès de l'ensemble
des URLMs (Union régionale des médecins libéraux). L'accord entre les pratiques et
les recommandations a été évalué via un critère composite basé sur les examens jugés
comme nécessaires d'après le guide de prise en charge. Résultats : 280 réponses ont
été recueillies. La population était composée de 55% de femmes. Plus de 58% des médecins
avaient moins de 45 ans. 77% des médecins déclaraient ne pas avoir reçu de formations
ou d'informations sur l'hypertrophie bénigne de prostate dans les 5 dernières années
et 83% déclaraient ne pas avoir connaissance des recommandations à destination des
médecins généralistes. Le mode de diffusion de celui-ci le plus répondu était la recherche
personnelle. La connaissance du guide était associée de façon significative au respect
des pratiques recommandées. Parmi les résultats notables, pour le diagnostic initial,
51% des médecins généralistes déclaraient réaliser un toucher rectal et 44% une échographie
endorectale. L'utilisation du score IPSS étaient de 23% et la réalisation d'un ECBU
de 64%. En absence de complications, 54% prescrivaient de la phytothérapie en première
intention. Conclusion : Le guide de prise en charge souffre d'un manque de diffusion.
Sa faible diffusion ne semble pas avoir permis de modifier les pratiques générales
avec la persistance d'exercices médicaux ne correspondant pas aux standards de prise
en charge. Cependant à l'échelle individuelle, ce guide semble permettre une amélioration
des pratiques. La réalisation de recommandations à destination des médecins généralistes
se confronte aux modes de diffusion et il semble nécessaire d'en proposer de nouvelles
modalités. (4e de couverture)
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
hypertrophie
Hypertrophie
diffusion
Bénin
Bénin
Pratique
directives de santé publique
médecins généralistes
Médecins
Médecine générale
études d'évaluation comme sujet
hypertrophie
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N2-AUTOINDEXEE
Une hypertrophie parotidienne
https://smf.swisshealthweb.ch/fr/article/doi/fms.2020.08418
Présentation du cas Un homme de 41 ans, connu pour un diabète de type I, vous consulte
pour une tuméfaction mandibulaire douloureuse bilatérale. Il rapporte que la tuméfaction
a débuté à droite il y a plusieurs semaines puis à gauche le matin même. Son statut
vaccinal est inconnu. A l’examen clinique, il est en bon état général, apyrétique.
On retrouve une hypertrophie parotidienne symétrique, douloureuse à la palpation.
Il n’y a pas d’écoulement purulent à l’embouchure du canal de Sténon.
2020
Forum Médical Suisse
Suisse
article de périodique
hypertrophie
hypertrophie
Hypertrophie
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N3-AUTOINDEXEE
Créatine, hypertrophie musculaire et évolution de la force: une revue systématique:
travail de Bachelor
http://doc.rero.ch/record/327602?ln=fr
Introduction : Dans un contexte d’expansion de la consommation de compléments alimentaires,
notamment à des fins d’amélioration des performances, la créatine est particulièrement
prisée par les sportifs pratiquant des efforts brefs et de haute intensité. Les allégations
autour d’une supplémentation en créatine sont nombreuses et revendiquent notamment
une augmentation significative de la force et de l’hypertrophie musculaire. Peu de
littérature scientifique traite toutefois des réels effets de cette supplémentation
de manière rigoureuse et complète. But : Le but de notre travail est de définir, sur
la base des connaissances actuelles, si la prise de créatine lors d'entraînements
de résistance induit une réelle augmentation significative aussi bien de la force
que de l’hypertrophie musculaire. Méthode : Ce travail de Bachelor est une revue systématique
réalisée sur la base de l’analyse de quatre essais cliniques randomisés et d’une étude
pilote, mesurant de manière simultanée l’évolution de la force et de l’hypertrophie
en lien avec la prise de créatine. Seuls les articles parus après 2004 ont été pris
en compte dans notre travail, en lien avec la revue de Volek et al. (1) publiée cette
année-là, afin d’apporter les connaissances les plus actuelles sur le sujet. Les articles
ont été sélectionnés sur la base d’une équation de recherche lancée sur les bases
de données PubMed et OVID. Ils ont ensuite été triés à partir de critères d’inclusion
et d’exclusion préétablis. Résultats : La majorité des études analysées dans ce travail
ont mis en évidence une augmentation significative des marqueurs de l’hypertrophie
musculaire chez les groupes supplémentés en créatine en comparaison aux groupes contrôles.
Concernant l’évolution de la force musculaire, l’évolution des marqueurs dans la plupart
des études n’était significativement pas différente entre les groupes supplémentés
en créatine et les groupes contrôles, seules deux études ont montré une augmentation
significative pour les groupes supplémentés en créatine. Ces études ont également
relevé l’absence de différence significative entre les résultats obtenus par les groupes
supplémentés en créatine et les groupes supplémentés en Whey Protein ou encore en
CHO, et ce aussi bien pour l’évolution de l’hypertrophie que de la force. Conclusion
: Ce travail ne permet pas de répondre à notre question de recherche. Les résultats
des études ne sont pas unanimes, ce qui rend difficile d’affirmer ou non l’impact
positif de la créatine sur l’hypertrophie et la force musculaire. De plus le faible
nombre d’études existantes et leur méthodologie ne permettent pas d’extrapoler ces
résultats à la population générale. D’après les résultats récoltés dans ce travail,
la créatine semble toutefois avoir un impact plus élevé sur l’évolution de l’hypertrophie
musculaire que sur la force. Afin de pouvoir se positionner plus clairement sur notre
question de recherche, un plus grand nombre d’études sur une population plus large
et analysant des marqueurs fiables et représentatifs des résultats recherchés est
nécessaire
2019
RERO DOC - Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale
Suisse
thèse ou mémoire
Hypertrophie
métier
travail
hypertrophie
créatine
créatine
Travail
hypertrophie
muscle, sai
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N3-AUTOINDEXEE
RTUP – traitement chirurgical endoscopique de l’hypertrophie bénigne de la prostate
sans laser (adénome de la prostate)
https://www.urofrance.org/wp-content/uploads/2021/06/76_traitement_chirurgical_endoscopique_de_lhypertrophie_benigne_de_prostate.pdf
Cette fiche, rédigée par l’Association Française d’Urologie est un document destiné
à vous aider à mieux comprendre les informations qui vous ont été expliquées par votre
urologue à propos de votre maladie et des choix thérapeutiques que vous avez faits
ensemble. En aucune manière ce document ne peut remplacer la relation que vous avez
avec votre urologue. Il est indispensable en cas d’incompréhension ou de question
supplémentaire que vous le revoyiez pour avoir des éclaircissements. Vous sont exposées
ici les raisons de l’acte qui va être réalisé, son déroulement et les suites habituelles,
les bénéfices et les risques connus même les complications rares.
2018
Urofrance - Association Française d'Urologie
France
brochure pédagogique pour les patients
Hypertrophie
prostate, sai
Prostatisme
résection transuréthrale de prostate
prostatisme
symptômes et plaintes de la prostate
laser
hypertrophie
prostate
hypertrophie
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