Libellé préféré : Anticoagulants;
substance (CISMeF) : O;
Identifiant d'origine : M0001380;
CUI UMLS : C0003280;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Alignements automatiques faux
Concept(s) MeSH plus fin(s)
Correspondances UMLS (même concept)
Record lié au concept
Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Inhibiteurs directs du facteur Xa ou « anticoagulants » classiques : lequel conduit
à de meilleurs résultats pour les personnes subissant une chirurgie majeure de la
hanche ou du genou ?
https://www.cochrane.org/fr/CD011762/CENTRALED_inhibiteurs-directs-du-facteur-xa-ou-anticoagulants-classiques-lequel-conduit-de-meilleurs-resultats
Principaux messages - Nous ne savons pas si les médicaments anticoagulants classiques
(communément appelés « anticoagulants ») ou les médicaments anticoagulants plus récents
appelés « inhibiteurs directs du facteur Xa » (inhibiteurs DFXa) sont plus efficaces
pour prévenir les décès ou le développement de caillots sanguins dans les veines profondes
des jambes ou dans les poumons des personnes ayant subi une chirurgie de remplacement
de la hanche ou du genou. - Par rapport aux anticoagulants classiques, les inhibiteurs
DFXa pourraient réduire légèrement le nombre de personnes qui présentent des symptômes
de caillots sanguins (tels que des difficultés respiratoires ou des douleurs). Un
type d'inhibiteur DFXa, le rivaroxaban, pourrait augmenter légèrement le nombre de
personnes qui présentent des saignements graves non contrôlés. Pourquoi les caillots
sanguins sont-ils préoccupants pour les personnes subissant une opération majeure
de la hanche ou du genou ? On parle de « thromboembolie veineuse » lorsqu'un caillot
de sang se forme dans une veine, les vaisseaux qui transportent le sang vers le cœur.
Les caillots peuvent rétrécir ou bloquer les veines, entraînant des lésions tissulaires,
des accidents vasculaires cérébraux et la mort. Les personnes subissant une chirurgie
de remplacement de la hanche ou du genou, ou une opération visant à réparer une fracture
de la hanche, présentent un risque plus élevé de développer un caillot sanguin.
2025
Cochrane
France
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
leadership
facteur xa
Inhibiteurs du facteur Xa
genou
Directives
chirurgie générale
personnes
Personna +
Anticoagulants
intervention chirurgicale
hanche
ayant comme résultat
anticoagulant
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N3-AUTOINDEXEE
Profils clinico-biologiques associés à la présence d’un lupus anticoagulant de faible
intensité : quelle prise en charge adopter ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02091489/document
Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) se définie par l’association de signes cliniques,
thrombotiques ou obstétricaux, à la persistance d’anticorps antiphospholipides (aPL)
incluant le lupus anticoagulant (LA). Toutefois, lorsque le LA est de faible intensité,
son implication dans l’apparition des évènements cliniques est discutée. Afin de déterminer
les caractéristiques clinico-biologiques associées à la présence d’un LA faible, nous
avons étudié les données de 114 patients prélevés entre le 01/09/2016 et le 31/08/2017
pour lesquels seul le temps de venin de vipère Russell dilué (dRVVT) était positif
avec un Lupus AntiCoagulant ratio (LAC ratio) de faible intensité (1,20 LAC ratio
1,30), suivi l’évolution du LA dans le temps et analysé la prise en charge proposée
par les cliniciens. Le LA faible représentait 27,5% des LA rendus positifs sur cette
période. L’association aux autres aPL, anticorps anticardiolipine et anti-β2 glycoprotéine-I,
n’a pas été retrouvée chez 98 patients (86,0%). La présence persistante de LA a été
confirmée chez 25 patients (54,4% des patients contrôlés) dont 14 (56,0%) ont présenté
des signes cliniques de SAPL. Néanmoins, parmi les 25 patients, 13 (52,0%) avaient
une cinétique de LA difficile à interpréter à cause de négativations inexpliquées.
Le LA faible a été pris en compte par le clinicien chez 18 (72,0%) des 25 patients
et 13 d’entre eux ont bénéficié d’un traitement prophylactique. Toutefois, 21 patients
(45,7% des patients contrôlés) ont vu leur LA disparaître et 68 patients avec un LA
faible (59,6%) n’ont pas été contrôlés ou nécessiteraient un nouveau contrôle. Ces
résultats confirment la présence de LA faible persistant associée à des signes cliniques
de SAPL justifiant un traitement adapté cependant, devant la diversité des profils
clinico-biologiques mis en évidence, la prise en charge reste controversée.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
adoption
anticoagulant
Biologie
asthénie
gestion des soins aux patients
Lupus
biologie
adoption
biologie
inhibiteur lupique de la coagulation
Anticoagulants
anticoagulants
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