Libellé préféré : perforation;
Synonyme SNOMED : perforant; perforé;
Identifiant d'origine : M-39210;
CUI UMLS : C0549099;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- perforateur [Concept du thésaurus Nutrition artificielle]
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Décrit
Type(s) sémantique(s)
- Fait [Type sémantique UMLS]
N2-AUTOINDEXEE
Gestion des déchets issus des équipements électriques ou électroniques associés aux
dispositifs médicaux perforants utilisés par les patients en auto-traitement et les
utilisateurs d’autotest
https://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1096
La loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie
circulaire (AGEC) soumet au principe de responsabilité élargie du producteur, depuis
le 1er janvier 2021, les équipements électriques et électroniques associés aux dispositifs
médicaux perforants utilisés par les patients en auto-traitement. Consulté sur un
projet de décret relatif à la gestion de ces déchets, le HCSP a recommandé qu’une
attention particulière soit portée aux éléments de justification fournis par le producteur
de dispositifs médicaux, associés ou non à des équipements électriques et électroniques,
visant à exclure les déchets, issus de leurs dispositifs, des exigences de la responsabilité
élargie du producteur, en particulier sur l’absence de risque infectieux et de déchets
non perforants. Le HCSP recommande la mise en place d’une procédure de validation
par une instance compétente, des éléments de justification d’exclusion des déchets
produits, avant la mise sur le marché des dispositifs médicaux concernés.
2021
HCSP - Haut Conseil de la Santé Publique
France
recommandation de santé publique
électron
dispositif
détritus
Déchets
patients
a comme patient
équipement et fournitures
Electronique
autotest
Dispositifs médicaux
perforation
gestion des déchets
déchets électroniques
Équipement
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N3-AUTOINDEXEE
Consommation de cocaïne et perforation naso-palatine
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03016490
Introduction : la consommation de cocaïne sniffée, est en constante augmentation.
L'objectif de ce travail était de réaliser une revue systématique de la littérature
chez les patients souffrant d'une perforation naso-palatine liée à la consommation
de cocaïne afin d'identifier les différentes possibilités thérapeutiques et de proposer
une prise en charge standardisée. Matériel et méthodes : la base de données PubMed
fut interrogée entre janvier et juillet 2020, sans limitation de date de publication.
Les publications répondant aux critères de sélection ont été incluses par deux lecteurs
indépendants selon la méthodologie PRISMA. Résultats : au total, 54 articles ont été
analysés, représentant 83 patients. L'âge moyen était de 39,8 ans, sans aucune différence
entre les sexes. La durée moyenne d'évolution de la perforation était de 15,9 mois,
avec une surface moyenne de 5.1cm². De graves lésions septales ont été systématiquement
constatées, concomitamment à des lésions du palais dur (91,5 %, n 76). 44% (n 37)
des patients ont pu bénéficier d'une plaque obturatrice, et 38,5% (n 27) d'une prise
en charge chirurgicale avec des lambeaux locaux, locorégionaux ou libres, sans différence
significative entre eux. Discussion : nous n'avons pas pu définir précisément une
relation dose-réponse avant d'objectiver l'apparence de la perforation palatine. Il
semble possible d'identifier une relation entre la chronicité et la taille du défect.
La perforation palatine étant secondaire à la perforation septale, les patients et
les praticiens doivent être avertis de la présence de reflux oro-nasal et de rhinolalie,
ce qui favoriserait une prise en charge médicale et addictologique plus précoce. L'absence
d'atteinte nasale et/ou d'atteinte isolée du palais mou permet d’exclure le diagnostic
de lésions destructives de la ligne médiane induites par la cocaïne (CIMDL). Le principal
diagnostic différentiel des CIMDL est la polyangiite granulomatose (GPA). La prise
en charge médicale combinée à un débridement mécanique et et à la mise en place d’une
plaque palatine semble être le traitement de première intention. Un traitement curatif
chirurgical ne peut être envisagé qu'après un sevrage complet d'au moins 12 mois,
contrôlé par l'analyse des drogues, et un suivi psychiatrique et toxicologique régulier.
Conclusion : les résultats de ce travail ont permis de proposer une prise en charge
standardisée afin d'améliorer la qualité de vie et de réduire l'errance diagnostique.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
cocaïne
palais, sai
palais osseux
troubles liés à la cocaïne
perforation
Cocaïne
cocaïne
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