Libellé préféré : peu différencié; 
Synonyme SNOMED : grade iii; 
         
         
            Identifiant d'origine : G-F503; 
CUI UMLS : C0205617; 
Alignements automatiques CISMeF supervisés
                  
                
               
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
                  
                
               
Correspondances UMLS (même concept)
                  
                
               
Type(s) sémantique(s)
                
            
          
         
         
         
         
N2-AUTOINDEXEE
Conduites à tenir devant des patients atteints d'un méningiome de grade II et III
            - Synthèse
https://www.cancer.fr/catalogue-des-publications/conduites-a-tenir-devant-des-patients-atteints-d-un-meningiome-de-grade-ii-et-iii-synthese
Ce référentiel concerne le diagnostic, la thérapeutique et le suivi des patients adultes
            atteints d’un méningiome de grade II ou de grade III. Il s’appuie essentiellement
            sur des données recueillies chez l’adulte, car les méningiomes de l’enfant sont exceptionnels.
            Il est destiné à tous les acteurs du diagnostic et de la thérapeutique impliqués dans
            la prise en charge des méningiomes, afin de faciliter leurs échanges lors des réunions
            de concertation pluridisciplinaire (RCP) de premier niveau et RCP de recours et leurs
            propositions de conduite à tenir ; il concerne plus particulièrement, sur un plan
            médical, les neurochirurgiens, les neuro-oncologues, les oncologues radiothérapeutes
            et les oncologues médicaux qui doivent s’appuyer sur l’Evidence Based Medecine pour
            diagnostiquer, traiter et suivre leurs patients.
2021
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INCa - Institut National du Cancer
France
recommandation pour la pratique clinique
prise en charge de la maladie
méningiome
peu différencié
patients
Méningiome
a comme patient
méningiome, sai
ostéosynthèse
moyennement différencié
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N2-AUTOINDEXEE
Traitement des gliomes malins grade III et IV OMS
https://www.anocef.org/download.php?modele=anocef_referentiel_gliomes3-4_2018
2018
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ANOCEF - Association des Neuro-Oncologues d'Expression Française
France
français
recommandation professionnelle
thérapeutique
Gliome malin
gliome
Organisation Mondiale de la Santé
Traités
indifférencié
Gliome malin
gliome malin
peu différencié
coopération internationale
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N3-AUTOINDEXEE
Prise en charge thérapeutique des tumeurs neuroendocrines peu différenciées pulmonaires
            et des carcinomes neuroendocrines digestifs
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0007455116301059
Les tumeurs neuroendocrines peu différenciées sont rares et leur incidence est en
            augmentation. Les atteintes pulmonaires et digestives sont les plus fréquentes. Les
            atteintes pulmonaires sont majoritairement représentées par le cancer bronchopulmonaire
            à petites cellules. Les atteintes digestives sont représentées par les carcinomes
            neuroendocrine digestifs. Du fait de leur rareté, peu d’études ont été réalisées sur
            les carcinomes neuroendocrines et une partie des recommandations thérapeutiques actuelles
            découlent de celles des carcinomes bronchopulmonaires à petites cellules. Cependant,
            les classifications histologiques se sont affinées ces dernières années : le groupe
            des tumeurs neuroendocrines peu différenciées est hétérogène avec l’existence de formes
            à petites cellules, grandes cellules et mixtes, aux pronostics différents. Ces tumeurs
            sont des tumeurs agressives diagnostiquées à un stade métastatique dans plus de la
            moitié des cas. En cas de tumeur localisée, une résection chirurgicale est réalisée
            chez des patients sélectionnés, suivie d’une chimiothérapie adjuvante proposée en
            option, dont l’intérêt n’a pas été démontré. Pour les formes localement avancées pulmonaires
            ou digestives (œsophage, rectum), le traitement est une chimio-radiothérapie concomitante,
            précoce. En cas de forme métastatique, une chimiothérapie associant sels de platine
            (cisplatine ou carboplatine) et étoposide est proposée en première intention. Dans
            les atteintes pulmonaires, l’irradiation prophylactique cérébrale est réalisée pour
            les formes localisées ayant bien répondu à la chimiothérapie. Même si l’emploi de
            ces traitements a permis une augmentation de la survie globale des patients par rapport
            à ceux non traités, peu d’améliorations ont été observées depuis 4 décennies et le
            pronostic reste très sombre.
10.1016/j.bulcan.2016.06.006
2016
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Elsevier Masson
France
français
article de périodique
carcinome neuroendocrine
digestif
peu différencié
Thérapeutique
tumeurs du poumon
poumon, sai
Digestifs
fonction du tube digestif
prise en charge personnalisée du patient
digestion
Tumeurs neuroendocrines
appareil digestif, sai
thérapeutique
agents gastro-intestinaux
tumeurs neuroendocrines
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