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Effets d'un programme d'incitation et d'éducation à l'activité physique à domicile chez des patients post-AVC en phase subaiguë sur la performance au test de marche de 6 minutes
http://www.theses.fr/2018LIMO0074
L’objectif de ce travail était d’’évaluer les effets d’un programme d’incitation et d’éducation à l’activité physique, à domicile chez des patients post-AVC en phase subaiguë, sur la performance au test de marche de 6 minutes (TM6M) et son maintien à six mois de l’arrêt du programme. Il s’agissait d’un essai clinique comparative, prospective, randomisée, en simple aveugle et monocentrique. La population de l’étude était composée de 84 patients post-AVC (Age 61.7 13.2 ans, délai de l’AVC 2.5 1.5 mois). Quarante-deux patients ont été randomisé pour le GE et 42 patients pour le GC. Le GE a suivi un programme d’incitation à l’AP à domicile pendant 6 mois. Trois moyens d’incitation ont été utilisés ; un accéléromètre (Armband Sensewear, Bodymedia), des appels téléphoniques hebdomadaires et des visites à domicile toutes les trois semaines. Également, une séance d’éducation sur l’AP et la fixation des objectives en termes du nombre de pas et de la durée de l’AP a été réalisée avant de commencer le protocole. Le GC a reçu simplement une information sur les bienfaits de l’AP et sur le niveau d’activité à réaliser selon les recommandations de pratique post-AVC. Les critères d’évaluation secondaires ont été l’échelle « fonctionnal ambulation classification » (FAC), l’indice de barthel (IB), l’indice moteur (IM), la qualité de vie (Euroqol-5D), la composition corporelle, le questionnaire « Health Care Comunication Questionnaire » (HCCQ), l’Echelle Visuelle Analogique de la douleur (EVA), le questionnaire Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) et questionnaire Multidimensionnal fatigue Inventory 20 (MFI-20). Les patients ont été évalué avant (T0), après l’intervention (T1) et six mois après l’arrêt du programme (T2). Les résultats montrent une augmentation significative de la distance de marche parcoure entre T0 et T1 pour le GE (18%, p<0.001), malgré cette augmentation, il n’y a pas de différence entre GE et GC à T1 (p 0.30). Une augmentation significative du score de FAC ( 0.75, p 0.02) a été constaté pour le GE à T1, cette augmentation était différente entre les deux groupes (p 0.0013). A l’inverse, une diminution significative du score MFI-20 (-4.6, p<0.001) a été constaté pour le GE à T1, cette diminution était différente entre les deux groupes (p<0.001). A T2 les effets du programme sur le périmètre de marche (p 0.75), la capacité fonctionnelle (p 0.17) et la fatigue (p 0,74) se sont maintenus. Aucun effet n’a été constaté pour le reste des variables. De plus, en fin d’intervention le GE atteint les recommandations d’AP par jour, en termes de pas (5955 5475) et de durée (105 75 minutes).
2018
theses.fr
France
thèse ou mémoire
Test de marche de 6 minutes
Domicile
Test de marche
Programmes des patients
démarche
Abcès du canal rachidien
cathétérisme veineux central
Éducation physique
Physique
motivation
éducation du patient comme sujet
Activités d'éducation
Physique
performance du patient
accident cérébrovasculaire
activité motrice
éducation
physique
caractéristiques de l'habitat
rendez-vous et plannings

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Évaluation des facteurs influençant la performance diagnostique aux urgences chez les patients de plus de 70 ans hospitalisés en médecine
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02044432/document
Introduction : la médecine d'urgence impose un diagnostic et une prise de décision réalisés rapidement, d’une part à cause de contraintes matérielles et d’autre part à cause de l’incertitude présumée liée à la gravité du cas patient. A cela s’ajoutent une organisation difficile et remise en cause en permanence, un personnel médical et paramédical souvent insuffisant, la surcharge des services d’aval complexifiant le processus d’hospitalisation et un flux important d’affections banales avec une population souvent génératrice de stress. Toutes ces contraintes en interaction avec les limites du système cognitif peuvent influencer l’élaboration d’un diagnostic et induire des erreurs de diagnostic. L’objectif de cette étude était d’apporter un éclairage sur les potentiels facteurs pouvant influencer le(s) diagnostic(s) posé(s) aux urgences comparé(s) avec le(s) diagnostic(s) retenu(s) en fin d’hospitalisation. Patients et méthode : nous avons réalisé une étude prospective descriptive dans le service d’accueil des urgences du CHU de la Timone à Marseille au cours de 3 périodes de 3 semaines chacune en considérant toutes les personnes âgées de 70 ans et plus accueillies, hospitalisées en service de médecine. Résultats : 587 patients ont été inclus. L’âge moyen des patients était 84,29 ans /- 6,74. Pour 399 patients (68%), une adéquation diagnostique était retrouvée. Pour 18%, le diagnostic était considéré comme incomplet au départ des urgences et dans 7.6% des cas soit 45 patients, nous avons constaté une erreur diagnostique c’est-à-dire des diagnostics contradictoires, avec une différence notable à la fois dans la stratégie diagnostique qu’ils impliquent et/ou dans la démarche thérapeutique. Quatre-vingt-sept pour cent des erreurs diagnostiques faites aux urgences concernaient l’infectiologie, la cardiologie et la neurologie. Nous n’avons pas mis en évidence de lien significatif entre l’âge des patients, leur fragilité ou encore le fait qu’ils soient accompagnés et la concordance entre le(s) diagnostic(s) posé(s) aux urgences et le(s) diagnostic(s) en fin d’hospitalisation. L’arrivée du patient en période de forte affluence n’est pas significativement associée à un plus grand risque d’erreur diagnostique de même qu’un temps de passage aux urgences incluant une relève médicale. Enfin, aucun des facteurs organisationnels étudiés n’influence non plus la concordance diagnostique. Par contre, le délai moyen de prise en charge est de 9,60 heures en cas de bon diagnostic versus 11,39 en cas d’erreur (p 0.051) et la durée d’hospitalisation varie significativement avec une médiane de 7 jours si le diagnostic était correct, 9 jours pour un diagnostic incomplet et 11 jours en cas de diagnostic erroné aux urgences. Conclusion : l’analyse des erreurs diagnostiques est indispensable mais comme le montre notre étude, le processus de diagnostic est complexe et les erreurs diagnostiques sont surement multifactorielle. A l’heure d’aujourd’hui, l’interaction de médecins de plusieurs disciplines ou à différents stades de leur formation semble augmenter la proportion d’erreurs interceptées et le développement d’outils informatiques d’aide au diagnostic offre des perspectives nouvelles et enthousiasmantes.
2017
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
urgences
patients hospitalisés
hospitalisation
facteur
études d'évaluation comme sujet
performance du patient
diagnostic
Acropathie ulcéromutilante de Bureau et Barrière
médecine
Médecins

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11/05/2025


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