Libellé préféré : études séroépidémiologiques;
Synonyme CISMeF : séro-prévalence; Étude séro-épidémiologique; Étude séroépidémiologique; Études séro-épidémiologiques;
Hyponyme MeSH : Séroprévalence;
Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Séroprévalence;
Identifiant d'origine : D016036;
CUI UMLS : C0036744;
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Concept(s) lié(s) au record
Type(s) sémantique(s)
Voir aussi inter- (CISMeF)
N3-AUTOINDEXEE
Étude de la séroprévalence contre l’infection à SARS-CoV-2 (Covid-19) chez les médecins
généralistes de Savoie et analyse de leurs pratiques au cours de la première vague
épidémique
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03174341
Contexte : La pandémie de la Covid-19 touche le département de la Savoie (France),
depuis le 01 mars 2020. La première vague épidémique en Savoie est survenue quelques
jours après le confinement de la population, mi-mars 2020, dans un contexte de pénurie
mondiale de masques. Les médecins généralistes ont été au cœur de la prise en charge
des patients dont le statut virologique restait inconnu, faute de tests diagnostiques
disponibles en ville. A la fin de la première vague épidémique, les études de séroprévalence
ont montré une contamination chez les professionnels de santé supérieure à celle de
la population générale, mais celles-ci s’intéressaient peu aux médecins généralistes.
Objectifs : L’objectif principal de cette étude était d’évaluer la séroprévalence
de la Covid-19 chez les médecins généralistes exerçant dans le département de la Savoie
à la fin de la première vague épidémique. Les objectifs secondaires étaient de déterminer
si la séroprévalence était influencée par d’autres paramètres évalués à l’aide d’un
questionnaire en ligne. Matériels et méthodes : Les médecins généralistes libéraux
exerçant en Savoie, ont été invités à participer à cette étude épidémiologique observationnelle
descriptive, rétrospective. Résultats : 64 médecins généralistes ont été inclus dans
l’étude (12,7% des 505 médecins généralistes du département). La séroprévalence contre
le SARS-CoV-2 à la fin de la première vague épidémique est estimée à 12,9% [IC 95%
4,6 ; 21,3]. Les facteurs associés de façon statistiquement significative à la séropositivité
étaient l’absence du port d’EPI, le sexe masculin, la présence de signes cliniques
(anosmie, dyspnée, douleurs thoraciques et céphalées) et la présence d’un cas confirmé
ou suspecté dans leur foyer. La séroprévalence ne semblait pas associée aux autres
pratiques des médecins (télémédecine, visites à domicile). Conclusion : Notre étude
montre une contamination des médecins généralistes près de trois fois supérieure à
la population générale et proche de celle des autres professionnels de santé malgré
des mesures de protection disponibles rapidement dans le département.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
pneumopathie virale
infections à coronavirus
COVID-19
thèse ou mémoire
collecte de données
virus du SRAS
médecins généralistes
Infection
Médecins
Pratique
maladie infectieuse
Séroprévalence
épidémies
infections
études séroépidémiologiques
pandémies
COVID-19
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N3-AUTOINDEXEE
Première transmission vectorielle du virus Zika en Europe : enquête de séroprévalence
pour étudier l’étendue de l’émergence dans le Var en novembre 2019
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2020/22/2020_22_2.html
L’implantation de l’Aedes albopictus expose au risque d’arboviroses et notamment d’infections
au virus Zika (ZIKV), du genre des flavivirus. La première transmission vectorielle,
par Aedes albopictus, en Europe de ZIKV a été identifiée à Hyères dans le Var, en
France. Il s’agissait de 3 cas, avec une date de début des signes début août 2019,
habitant un même quartier. Une enquête de séroprévalence a été menée afin de déterminer
l’étendue de la transmission autochtone et la part des infections asymptomatiques
et paucisymptomatiques. En novembre 2019, des échantillons de sang capillaire, des
informations sur les antécédents médicaux et les expositions à risque (voyages, piqures
de moustiques) ont été collectés auprès des résidents consentants et des travailleurs
exposés au vecteur, dans un rayon de 200 mètres autour des cas. Des marqueurs d’infection
par un flavivirus (Zika, dengue et West-Nile) ont été recherchés par sérologie IgM
et IgG ELISA puis, pour les sérums positifs, confirmés en séroneutralisation (permettant
de caractériser la réponse anticorps et d’identifier un antécédent d’infection par
le ZIKV). L’enquête a pu être menée auprès de 61% des foyers de la zone étudiée (88/145)
et 86% des personnes enquêtées éligibles ont été prélevées (162/189). Ce pourcentage
était de 82% pour les travailleurs (69/84). Huit personnes présentaient des IgG anti-flavivirus.
Les 5 séroneutralisations faites n’ont montré aucun antécédent d’infection au virus
Zika. Les 3 autres personnes avaient déjà habité dans des zones à risque de transmission
d’arbovirus. Ce foyer de 3 cas d’infection à ZIKV identifié à Hyères est resté limité
et l’enquête de séroprévalence n’a pas mis en évidence de cas supplémentaire.
2020
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
enquêteur
Séroprévalence
Fracture intercondylienne de l'humérus
étudiant
Virus
Virus
Europe
étudiants
virus zika
collecte de données
Transmissions
Europe
études séroépidémiologiques
Virus Zika
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N2-AUTOINDEXEE
COVID-19 : Étude de séroprévalence chez des travailleurs de la santé de centres hospitaliers
au Québec
https://www.inspq.qc.ca/publications/3084-etude-seroprevalence-travailleurs-sante-centres-hospitaliers-quebec-covid19
La pandémie de COVID-19 a touché de façon disproportionnée les travailleurs de la
santé (TdeS) jusqu’à présent. Que ce soit en France, en Espagne, en Italie, en Allemagne
ou aux États-Unis, au moins 10 % des cas rapportés étaient chez des TdeS(1). Au Québec,
ces travailleurs ont été particulièrement affectés : ils ont représenté 25 % (14 177/56
565) des cas déclarés lors de la 1re vague qui a sévi du 23 février au 11 juillet
2020(1,2). Cela représente un risque dix fois plus élevé chez les TdeS que dans le
reste de la population âgée de 20 à 69 ans. De plus, le Québec est la province canadienne
de loin la plus touchée par la COVID-19(3) et la région métropolitaine de Montréal
et celle qui a été la plus affectée par la 1re vague pandémique. Bien que les centres
d’hébergement et de soins de longue durée aient été les plus durement touchés, environ
le tiers des cas rapportés chez des TdeS durant la 1re vague travaillait en centre
hospitalier de soins aigus (CH).
2020
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
infections à coronavirus
pneumopathie virale
COVID-19
rapport
Santé
collecte de données
hôpital
personnel de santé
hôpitaux
central
études séroépidémiologiques
Centre
Québec
Séroprévalence
santé
pandémies
COVID-19
---
N1-SUPERVISEE
Les enquêtes de séroprévalence comme marqueurs de l’immunité populationnelle au SARS-CoV-2
https://smf.swisshealthweb.ch/fr/article/doi/fms.2020.08537
Les enquêtes de séroprévalence sont centrales pour déterminer la proportion d’une
population qui a réellement été infectée par le SARS-CoV-2, au-delà du nombre de cas
officiellement confirmés. Dans le canton de Genève, depuis avril une grande étude
de séroprévalence est en cours...
https://doi.org/10.4414/fms.2020.08537
2020
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Forum Médical Suisse
Suisse
COVID-19
infections à coronavirus
pneumopathie virale
Suisse
enquêtes de santé
immunité de groupe
tests sérologiques
Anticorps anti-SARS-CoV-2
article de périodique
Séroprévalence
études séroépidémiologiques
immunité
pneumopathie virale
infections à coronavirus
pandémies
COVID-19
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N3-AUTOINDEXEE
SCoPe : une étude de séroprévalence auprès d’une population vulnérable de Perpignan
https://www.santepubliquefrance.fr/etudes-et-enquetes/scope-une-etude-de-seroprevalence-aupres-d-une-population-vulnerable-de-perpignan
Lors de la première vague en mars 2020, l’épidémie de COVID-19 a particulièrement
impacté des quartiers défavorisés de Perpignan dont la population est majoritairement
gitane. Pour faire face à la flambée épidémique, des centres COVID dédiés avaient
été installés en urgence dans ces quartiers et les mesures du confinement renforcées.
Une surveillance spécifique, réalisée par Santé publique France, avaient confirmé
que la circulation virale avait été plus intense dans ces quartiers. Par la suite,
une enquête transversale de séroprévalence des anticorps anti-Sars-Cov-2 dans la population
de ces quartiers (ScoPe) a été initiée par le CH de Perpignan en partenariat avec
Santé publique France afin d’estimer plus précisément l’impact de la première vague.
Cette approche permettait d’évaluer le potentiel épidémique qui subsistait dans ces
quartiers et d’adapter les mesures de prévention dans une population particulièrement
vulnérable tant vis-à-vis du risque d’infection et que de sa gravité.
2020
SPF - Santé publique France
France
infections à coronavirus
pneumopathie virale
COVID-19
rapport
études séroépidémiologiques
populations vulnérables
Séroprévalence
collecte de données
pandémies
COVID-19
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N1-SUPERVISEE
Études séroépidémiologiques sur le virus de la grippe pandémique A (H1N1) 2009
Relevé épidémiologique hebdomadaire, 85 (24):229-235
https://apps.who.int/iris/handle/10665/241588
2010
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OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Genève
Suisse
français
information scientifique et technique
grippe humaine
sous-type H1N1 du virus de la grippe A
études séroépidémiologiques
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