Libellé préféré : tai chi;

Définition du MeSH : Un des arts martiaux, mais aussi une forme d'exercice méditatif basé sur des mouvements d'étirement circulaires lents et des positions d'équilibre. [Traduction effectuée avant 2008];

Définition CISMeF : Le tai-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan (chinois traditionnel : 太極拳 ; pinyin : tàijí quán ; Wade : t'ai⁴chi²ch'üan² ; cantonais Jyutping : taai³gik⁶kyun⁴ ; cantonais Yale : taaigihkkyùhn ; litt. « boxe du taiji » ou « boxe du faîte suprême », également prononcé en japonais taikyoku ken) est un art martial chinois dit « interne » (neijia) souvent réduit à une gymnastique de santé. Il peut aussi comporter une dimension spirituelle. Il a pour objet le travail de l'énergie appelée chi (source https://fr.wikipedia.org/wiki/Tai-chi-chuan.;

Synonyme CISMeF : T'ai Chi; Tai Chi Chuan; Taiji; tai ji; taiji quan; tàijí quán; tàijí quán ; taaigihkkyùhn; taai³gik⁶kyun⁴; t'ai⁴chi²ch'üan²;

Traduction automatique Wikipédia : Tai-chi-chuan;

Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tai-chi-chuan;

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Un des arts martiaux, mais aussi une forme d'exercice méditatif basé sur des mouvements d'étirement circulaires lents et des positions d'équilibre. [Traduction effectuée avant 2008]
Le tai-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan (chinois traditionnel : 太極拳 ; pinyin : tàijí quán ; Wade : t'ai⁴chi²ch'üan² ; cantonais Jyutping : taai³gik⁶kyun⁴ ; cantonais Yale : taaigihkkyùhn ; litt. « boxe du taiji » ou « boxe du faîte suprême », également prononcé en japonais taikyoku ken) est un art martial chinois dit « interne » (neijia) souvent réduit à une gymnastique de santé. Il peut aussi comporter une dimension spirituelle. Il a pour objet le travail de l'énergie appelée chi (source https://fr.wikipedia.org/wiki/Tai-chi-chuan.

N1-SUPERVISEE
Tai-chi pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde
https://www.cochrane.org/fr/CD004849/le-tai-chi-chez-les-patients-atteints-de-polyarthrite-rhumatoide
Les chercheurs de Cochrane ont effectué une revue sur l'effet du Tai Chi chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR). Les recherches documentaires jusqu'en septembre 2018 ont relevé sept études portant sur 345 patients, âgés de 16 à 80 ans, en Chine, en Corée du Sud et aux États-Unis. Certains patients ont suivi des cours à l’hôpital, sur une durée allant de 8 à 12 semaines ; d'autres ont participé à un programme de Tai Chi autoguidé.
2019
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Cochrane
Royaume-Uni
France
résultat thérapeutique
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
tai chi
polyarthrite rhumatoïde

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N1-VALIDE
Bienfaits du tai-chi sur la santé
Quelles sont les données probantes?
http://www.cfp.ca/content/62/11/e645?etoc
Sources d’information Une revue de la littérature sur les bienfaits du tai-chi sur 25 affections différentes, de même que sur la santé en général et sur la forme physique, a été effectuée afin d’actualiser une revue des revues systématiques effectuée en 2014. Les revues systématiques et les essais cliniques récents ont été évalués et organisés en 5 groupes : données excellentes, bonnes, acceptables ou préliminaires, étayant un bienfait ou n’étayant aucun bienfait direct.
2016
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Le Médecin de Famille Canadien
Canada
français
article de périodique
tai chi
résultat thérapeutique
cas clinique
Exercices de conditionnement physique basés sur la tradition des arts martiaux

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N1-SUPERVISEE
Le tai-chi pour prévenir les maladies cardiovasculaires
http://www.cochrane.org/fr/CD010366/le-tai-chi-pour-prevenir-les-maladies-cardiovasculaires
Contexte : Le stress et la sédentarité sont les principaux facteurs déterminants de la maladie cardio-vasculaire (MCV). Comme le tai-chi consiste à pratiquer une activité physique et peut aider à réduire le stress, il pourrait être efficace dans la prévention primaire des MCV. Objectifs : Déterminer l'efficacité du tai-chi pour la prévention primaire des MCV
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France
Royaume-Uni
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revue de la littérature
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maladies cardiovasculaires
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N1-VALIDE
Thérapies complémentaires - acupuncture, hypnose, ostéopathie, tai-chi - leur place parmi les ressources de soins
http://www.academie-medecine.fr/therapies-complementaires-acupuncture-hypnose-osteopathie-tai-chi-leur-place-parmi-les-ressources-de-soins/
http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/07/4.rapport-Th%C3%A9rapies-compl%C3%A9mentaires1.pdf
Les thérapies complémentaires ont-elles une place dans les hôpitaux publics ? Telle est la question que posent les auteurs après l’apparition de ces techniques dans la pratique de plusieurs établissements. Les revues et méta-analyses d’essais cliniques contrôlés montrent que l’acupuncture, la médecine manuelle-ostéopathie et l’hypnose (thérapies les plus pratiquées dans les hôpitaux de Paris) ne font preuve d’utilité que dans un nombre restreint de situations : lombalgies, cervicalgies, certaines céphalées (acupuncture et manipulations du rachis), nausées et vomissements de la chimiothérapie anticancéreuse (acupuncture et hypnose), prévention de la douleur liée aux soins chez l’enfant (hypnose). De même le tai-chi paraît efficace pour la prévention des chutes et l’amélioration de l’équilibre chez les personnes âgées. Toutefois l’avantage de ces méthodes par rapport aux soins de référence est peu ou non significatif, et quand une intervention placebo est réalisable (acupuncture, certaines manipulations) la thérapie authentique n’est pas supérieure à la thérapie simulée. L’effet placebo pourrait donc être le mécanisme commun d’action de ces thérapies. Malgré ces limites, les thérapies complémentaires sont très appréciées du public et la plupart des facultés de médecine françaises leur consacrent des enseignements optionnels de troisième cycle. Les hôpitaux publics, et notamment les CHU et les centres d’oncologie, ne peuvent donc être critiqués d’accorder à ces pratiques une place dans leur offre de soins. Les auteurs émettent cependant plusieurs recommandations afin que, en adoptant ces thérapies, l’hôpital soit perçu non comme garant de leur efficacité, mais comme lieu d’exemplarité de leur pratique et espace ouvert à la recherche et à l’évaluation objective et rigoureuse du bénéfice qu’elles apportent au patient. Ils rappellent à ce titre que ces thérapies ne sont que des méthodes adjuvantes, pouvant compléter les moyens de la médecine conventionnelle, mais ne pouvant s’y substituer.
2013
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Académie Nationale de Médecine
Paris
France
français
thérapies complémentaires
rapport
thérapie par acupuncture
ostéopathie
manipulation de chiropraxie
tai chi
résultat thérapeutique
acupuncture
chiropraxie
hypnose
thérapies complémentaires
recommandation professionnelle

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28/03/2024


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