Libellé préféré : ruminants;
Synonyme CISMeF : Ruminantia;
Hyponyme MeSH : Oreamnos americanus; Chèvre des Montagnes Rocheuses;
Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ruminantia;
UNII : txid9845;
Identifiant d'origine : D012418;
CUI UMLS : C0035950;
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Concept(s) lié(s) au record
Correspondances UMLS (même concept)
Liste des qualificatifs affiliables
- urine [Qualificatif MeSH]
Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
La fièvre Q, une maladie qui peut passer des ruminants à l’être humain
https://www.anses.fr/fr/content/fievre-q-ruminants-humains
La fièvre Q est une maladie souvent méconnue, bien qu’elle soit répandue partout dans
le monde et qu’elle ait été découverte il y a près d’un siècle. Elle peut causer des
problèmes de reproduction chez les brebis, les chèvres et les vaches et se transmettre
aux humains. Généralement sans gravité, la maladie peut toutefois entraîner des complications
ou se développer des mois ou des années après l’infection.
2025
ANSES
France
information patient et grand public
maladie
ruminants
humains
fièvre Q
fièvre q
Maladie
fièvre
homo sapiens
rumination
ruminant
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N2-AUTOINDEXEE
Les pensées ruminatives chez les patients présentant un trouble addictif
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02169362
Introduction : les ruminations sont considérées comme un facteur transdiagnostique
pouvant expliquer la forte comorbidité entre les pathologies psychiatriques et addictologiques.
L’objectif principal de notre étude est d’évaluer la fréquence des pensées ruminatives
dysfonctionnelles en comparaison avec les pensées fonctionnelles chez des patients
présentant un trouble addictif, toutes addictions confondues. L’objectif secondaire
est de comparer la fréquence des pensées ruminatives fonctionnelles ou non au sein
de chaque addiction. L’objectif tertiaire de notre étude est de montrer s’il existe
une corrélation entre les pensées ruminatives et les troubles anxio-dépressifs chez
les patients présentant un trouble addictif. Matériel et méthode : il s’agit d’une
étude épidémiologique descriptive transversale. 89 patients d’un Hôpital de Jour d’addictologie
ont été inclus dans notre étude. Nous avons utilisé deux questionnaires de ruminations
(Ruminative Response Scale et Mini Cambridge Exeter Ruminative Thought Scale). Résultats
: toutes addictions confondues, il existait une différence très significative entre
les ruminations (fonctionnelle ou non) pour les deux échelles. Nous retrouvons les
mêmes résultats pour les sous-groupes alcool, tabac, addiction comportementale. Pour
les sous-groupes opiacés, hypnotiques-sédatifs, il existait une différence significative
uniquement pour l’échelle Ruminative Response Scale. Aucune différence significative
n’a été retrouvée pour les groupes cannabis et cocaïne. Conclusion : Dans la population
addict il existerait un déséquilibre des ruminations en faveur des pensées dysfonctionnelles,
allant dans le sens du modèle transdiagnostique de Nolen-Hoeksema et Watkins. En revanche,
nous retrouvons des différences entre chaque sous-groupe d’addiction.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
toxicomanie
ruminant
rumination
troubles liés à une substance
trouble de la pensée
addictions
ruminants
patients
Addiction
a comme patient
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N2-AUTOINDEXEE
Du mind-wandering à la rumination dans la dépression : aspects physiopathologiques
et pistes de prévention
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02056477/document
Nous décrivons dans un premier temps les liens entre mind-wandering (MW), rumination
et dépression. Le MW se réfère au phénomène fréquent et comment de penser à autre
chose que ce que l’on est entrain de faire. Lorsqu’il devient moins flexible et que
les idées qui le constituent sont négatives et répétitives, il s’apparente à de la
rumination. La rumination est un facteur de risque et un symptôme pronostic clé du
trouble dépressif. MW et rumination sont la cible de nouvelles thérapeutiques comme
la méditation de pleine conscience et peuvent être visées par les nouveaux outils
de neuromodulation. Dans un second temps nous rapportons la méthode et les résultats
d’une étude comportementale effectuée dans le but d’explorer les différences de MW
entre des sujets présentant des symptômes dépressifs et des sujets témoins. Les sujets
ont passé une tâche de vigilance monotone afin de générer et évaluer leur MW. Nos
résultats ont permis de mettre en évidence une plus grande focalisation des sujets
dysphoriques sur leur MW ainsi qu’une variabilité augmentée de l’allocation de leurs
ressources attentionnelles. Nous discutons l’interprétation de nos résultats et en
particulier l’importance de la variable de métacognition dans le caractère délétère
ou non du MW.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
trouble dépressif
dépression
ruminants
dépression
ayant l' aspect
rumination
depression
dépression
depression
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