Libellé préféré : poisson;
Identifiant d'origine : L-C0000;
CUI UMLS : C0016163;
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- poison [Code d'extension CIM-11]
Alignements automatiques faux
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Décrit
Type(s) sémantique(s)
Voir aussi inter- (CISMeF)
N3-AUTOINDEXEE
Méthylmercure : un risque pour la santé en cas de consommation importante de poissons
https://www.anses.fr/fr/content/methylmercure-un-risque-pour-la-sante-en-cas-de-consommation-importante-de-poissons
À haute dose, le méthylmercure est toxique pour le système nerveux central de l’être
humain, en particulier durant son développement in utero et au cours de la petite
enfance. La consommation de poisson constitue la principale source d'exposition alimentaire
au méthylmercure. Au regard des bénéfices nutritionnels liés à la consommation de
poissons, l’Agence a évalué les risques liés à cette substance afin de déterminer
des recommandations de consommation de poisson sans risque pour la santé à cet égard.
Qu'est-ce que le mercure et le méthylmercure ? Le mercure est un métal présent naturellement
à l'état de traces dans l'environnement. Essentiellement rejeté par croute terrestre
dans l'air, il se disperse ensuite dans les sols, les eaux et les sédiments. Il se
diffuse aussi dans la nature du fait des rejets engendrés par les activités humaines
: exploitation minière, métallurgie, transformation de pâte à papier, combustion des
déchets et des combustibles fossiles en particulier. Très volatil sous sa forme élémentaire,
le mercure peut se transformer en méthylmercure à la suite de réactions chimiques
lorsqu’il rejoint le compartiment aquatique. Cette forme est toxique, facilement absorbable
et accumulable par l’organisme. Présent à de faibles concentrations dans l'eau ou
les sédiments le méthylmercure peut se concentrer très fortement dans les organismes
aquatiques. Sa teneur a tendance à s'élever au fil de la chaîne alimentaire, à chaque
fois qu'une espèce en mange une autre.
2024
ANSES
France
information scientifique et technique
Risque
poissons
poisson
casse-croute
Santé
produits dangereux
économie
---
N3-AUTOINDEXEE
Fumage naturel des viandes et des poissons
Fiche d’aide au repérage
https://www.inrs.fr/media.html?refINRS=FAR%2038
Cette fiche recense les postes susceptibles de présenter un risque cancérogène pour
le métier de fumage des viandes et des poissons : manutention de sciure, allumage
du foyer, conduite de l'installation, nettoyage et entretien des installations. Pour
chaque poste de travail, les cancérogènes avérés ou suspectés sont listés. Les fiches
d'aide au repérage (FAR) ont pour objectif d'aider les entreprises à repérer rapidement
si des agents cancérogènes peuvent être rencontrés dans leur activité, à quels postes
ou pour quelles tâches et avec quelle probabilité de présence. Ceci dans l'objectif
réglementaire de l'évaluation du risque cancérogène propre à l'entreprise. Elles sont
destinées aux chefs d'entreprises (particulièrement PME ou TPE), aux préventeurs et
aux médecins du travail, désireux d'avoir des connaissances sur l'évaluation du risque
cancérogène.
2023
INRS - Institut National de Recherche et de Sécurité
France
information scientifique et technique
suivi (localisation)
poisson
Pneumonie interstitielle aiguë
repérage
gène AIP
viande
Aidants naturels
viande
assistance
saveur de viande
allèle sauvage AICDA
viande
aidants
poissons
poisson
---
N2-AUTOINDEXEE
Avantages et inconvénients de la consommation de poisson et de fruits de mer
Partie 1 : Mercure et méthylmercure dans le poisson
https://www.health.belgium.be/fr/avis-9343-poisson-et-fruits-de-mer-partie-1
Le Conseil Supérieur de la Santé révise son avis 7617 « Poisson et santé » de 2004.
Dans cette première partie, réalisée en collaboration avec le Comité scientifique
institué auprès de l’AFSCA, il examine les risques liés à l'exposition au mercure
et au méthylmercure via la consommation de poissons. Dans une partie ultérieure, d'autres
contaminants seront également pris en compte dans l’évaluation du risque. Des recommandations
plus détaillées pourront alors être émises. Actuellement, la recommandation générale
pour la population adulte belge reste de manger du poisson, des fruits de mer et des
crustacés une ou deux fois par semaine, dont au moins une fois du poisson gras. Les
poissons et fruits de mer sont des sources précieuses de nutriments essentiels, tels
que les protéines, les acides gras polyinsaturés, l'iode, le sélénium et la vitamine
D. Ils constituent une alternative intéressante à la viande et ses dérivés. Leur consommation
régulière (une à deux fois par semaine) a un impact positif sur la santé et n’est
pas à risque, en ce qui concerne l’exposition au mercure. Cependant, il convient de
varier les origines et les types de poissons d'une semaine à l'autre pour limiter
le plus possible l'exposition au mercure. La même recommandation s'applique également
aux enfants et aux femmes enceintes ou allaitantes. En raison de leur sensibilité
accrue aux risques liés au méthylmercure, il est préférable qu'ils limitent leur consommation
de thon et évitent l'espadon. D'autres espèces telles que le maquereau, la sardine,
le saumon, le hareng, le flétan, les moules, la truite et le cabillaud sont à privilégier.
2022
SPF - Service Public Fédéral - Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et
Environnement
Belgique
rapport
recommandation de santé publique
poisson
mercure
fruits de mer
économie
mercure
produits de la mer
Poissons
Fruits de mer
Poissons
---
N2-AUTOINDEXEE
Le mercure, le poisson et les chercheurs d’or
https://www.encyclopedie-environnement.org/sante/mercure-poisson-chercheurs-or/
Le mercure est un bon exemple des difficultés à évaluer et à gérer un risque en santé
environnementale. La présence de ce métal dans la chaine alimentaire comporte un risque
potentiel démontré, à mettre en balance avec les bénéfices de la consommation de certains
aliments comme le poisson. L’histoire du mercure et de ses effets sur la santé, souvent
émaillée d’événements dramatiques, illustre depuis des décennies les progrès réalisés
en santé environnementale.
2018
false
false
false
Encyclopédie de l'environnement
France
information patient et grand public
personnel de recherche
poisson
poissons
or
or
mercure
Poissons
mercure
or
---
N2-AUTOINDEXEE
Paléontologie Evolution. Le squelette humain, du poisson à la bipédie. La sortie de
l'eau.
https://www.youtube.com/watch?v=ah8Y0pEaN4w
Cette vidéo 3D montre l'évolution du squelette des poissons lors de leur(s) sortie(s)
de l'eau. Il y a 250 millions d'années, le squelette des nageoires antérieures préfigurait
l'humérus, le radius, l'ulna, le poignet et la main et ces nageoires sont devenues
nos membres supérieurs. C'est la 1ère vidéo d'un programme intitulé:Le squelette humain,
du poisson à la pipédie.
2018
Anatomie 3D
France
matériel d'enseignement audio-visuel
Poissons
homo sapiens
humains
eau
poisson
Eau
embolisation d'artère utérine
poissons
squelette
ossature, sai
eau
sortie
Paléontologie humaine
Paléontologie
Eau
paléontologie
---
N3-AUTOINDEXEE
Probable : Le poisson réduit les risques d’Alzheimer
http://www.extenso.org/article/le-poisson-reduit-les-risques-d-alzheimer/
Avec le vieillissement de la population, les experts prédisent que les personnes souffrant
de la maladie d’Alzheimer seront de plus en plus nombreuses, jusqu’à atteindre près
de 107 millions de personnes à travers le monde en 2050. Toutefois, les causes exactes
de cette maladie incurable restent inconnues. Est-ce qu’une alimentation riche en
produits de la mer serait l’avenue à privilégier?
2015
false
false
false
Extenso
Canada
français
information patient et grand public
diagnostic probable
poisson
poissons
réductible
maladie d'Alzheimer
risque
---