Libellé préféré : sciences participatives;

Définition CISMeF : Les sciences participatives (parfois appelées « sciences citoyennes » ou « sciences collaboratives ») sont « des formes de production de connaissances scientifiques auxquelles des acteurs non-scientifiques-professionnels — qu’il s’agisse d’individus ou de groupes — participent de façon active et délibérée » (source https://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_participatives).;

Synonyme CISMeF : sciences collaboratives; sciences citoyennes;

Traductions automatiques par l'ANS : Science citoyenne; Sciences du citoyen;

Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Participation volontaire du public au processus scientifique, abordant des problèmes réels de manière à formuler des questions de recherche, à réaliser des expériences scientifiques, à collecter et analyser les données, à interpréter les résultats, à faire de nouvelles découvertes, à développer des technologies et des applications, à la résolution de problèmes complexes (https : / / www.ecouenscience.gov /);

Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences citoyennes;

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Les sciences participatives (parfois appelées « sciences citoyennes » ou « sciences collaboratives ») sont « des formes de production de connaissances scientifiques auxquelles des acteurs non-scientifiques-professionnels — qu’il s’agisse d’individus ou de groupes — participent de façon active et délibérée » (source https://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_participatives).

N3-AUTOINDEXEE
Les sciences citoyennes à l’ère de la santé numérique
https://journals.openedition.org/anthropologiesante/13760
Cet article s’intéresse aux reconfigurations du problème de la pollution de l’air en lien avec l’émergence de nouvelles mobilisations citoyennes, impulsées par l’essor du marché des micro-capteurs numériques. Ce faisant, il met plus spécifiquement le curseur de l’étude non plus sur le rôle des collectifs mobilisés mais sur celui des scientifiques et des acteurs institutionnels impliqués dans les projets de science citoyenne. En s’appuyant sur une enquête de terrain réalisée à Paris, cette étude met en évidence le fait que les scientifiques et les acteurs institutionnels se joignent aux projets de sciences citoyennes avec leurs propres intérêts et objectifs, différents de ceux portés par les collectifs mobilisés. Il en résulte d’importantes asymétries de pouvoir qui réduisent le rôle des collectifs mobilisés à la collecte de données numériques. Cet article montre comment cette réduction du citoyen à un simple capteur de pollutions environnementales limite la capacité de transformer un projet de science citoyenne en une mobilisation capable de redéfinir et de reconfigurer le problème de la pollution de l’air à l’échelle locale.
2024
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France
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sciences participatives
sciences de promotion de la santé
Science
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Allèle sauvage ESR1
arthrite liée à l’enthésite
santé numérique
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26/04/2025


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