Description : Après une première étude en 2015, le KCE cherche à nouveau à vérifier si un test génomique
appelé MammaPrint peut aider les médecins à choisir s’ils doivent prescrire ou non
une chimiothérapie aux femmes atteintes d’un cancer du sein au stade précoce. Une
chimiothérapie qui s’impose si elles courent un risque élevé de développer des métastases,
mais qui peut être évitée si l’on est certain que ce risque de métastases est (quasi)
nul. L’enjeu n’est pas mince, car on connaît la lourdeur de ces traitements et leur
impact désastreux sur la qualité de vie. Les femmes et leurs médecins doivent donc
assumer un difficile arbitrage entre souffrir avec certitude aujourd’hui et l’espoir,
mais l’espoir seulement, d’être débarrassées du crabe demain...;