" /> Prise en charge thérapeutique des tumeurs neuroendocrines peu différenciées pulmonaires et des carcinomes neuroendocrines digestifs - CISMeF





Titre : Prise en charge thérapeutique des tumeurs neuroendocrines peu différenciées pulmonaires et des carcinomes neuroendocrines digestifs;

URL : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0007455116301059

Description : Les tumeurs neuroendocrines peu différenciées sont rares et leur incidence est en augmentation. Les atteintes pulmonaires et digestives sont les plus fréquentes. Les atteintes pulmonaires sont majoritairement représentées par le cancer bronchopulmonaire à petites cellules. Les atteintes digestives sont représentées par les carcinomes neuroendocrine digestifs. Du fait de leur rareté, peu d’études ont été réalisées sur les carcinomes neuroendocrines et une partie des recommandations thérapeutiques actuelles découlent de celles des carcinomes bronchopulmonaires à petites cellules. Cependant, les classifications histologiques se sont affinées ces dernières années : le groupe des tumeurs neuroendocrines peu différenciées est hétérogène avec l’existence de formes à petites cellules, grandes cellules et mixtes, aux pronostics différents. Ces tumeurs sont des tumeurs agressives diagnostiquées à un stade métastatique dans plus de la moitié des cas. En cas de tumeur localisée, une résection chirurgicale est réalisée chez des patients sélectionnés, suivie d’une chimiothérapie adjuvante proposée en option, dont l’intérêt n’a pas été démontré. Pour les formes localement avancées pulmonaires ou digestives (œsophage, rectum), le traitement est une chimio-radiothérapie concomitante, précoce. En cas de forme métastatique, une chimiothérapie associant sels de platine (cisplatine ou carboplatine) et étoposide est proposée en première intention. Dans les atteintes pulmonaires, l’irradiation prophylactique cérébrale est réalisée pour les formes localisées ayant bien répondu à la chimiothérapie. Même si l’emploi de ces traitements a permis une augmentation de la survie globale des patients par rapport à ceux non traités, peu d’améliorations ont été observées depuis 4 décennies et le pronostic reste très sombre.;

Lien DOI : 10.1016/j.bulcan.2016.06.006;

Année : 2016;

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Détails


Type(s) de ressource(s) :

Indexation :

Spécialité(s) : ******gastroentérologie
******neurologie
***pneumologie
***médicaments
***thérapeutique
***nutrition
***endocrinologie
***oncologie
***physiologie
***pharmacologie
***chimie
***pharmacie

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03/05/2024


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