La popularité du test d'autodépistage du VIH en dit peut-être plus sur l'état de notre
système de soins de santé primaires que sur le dispositif en soi - CISMeF
La popularité du test d'autodépistage du VIH en dit peut-être plus sur l'état de notre
système de soins de santé primaires que sur le dispositif en soiDocument
Titre : La popularité du test d'autodépistage du VIH en dit peut-être plus sur l'état de notre
système de soins de santé primaires que sur le dispositif en soi;
Description : Contexte : Au Canada, la transmission du VIH continue de toucher de manière disproportionnée
les mêmes communautés d'hommes gays, d'hommes bisexuels et d'hommes ayant des relations
sexuelles avec d'autres hommes (gbHARSAH), les membres des communautés africaines,
caribéennes et noires (ACN), les personnes qui consomment des drogues injectables,
les populations autochtones et les femmes qui appartiennent aux groupes susmentionnés.
Bien qu'un centre de soins de santé primaires soit le lieu idéal pour le dépistage
du VIH pour les membres de ces groupes, de nombreuses personnes n'ont pas accès à
ces services de santé. En réponse, nous avons lancé GetaKit pour distribuer des tests
d'autodépistage du VIH. Méthodes : Compte tenu de la réduction de l'accès aux services
de santé résultant de la pandémie et en prévision de l'approbation par Santé Canada
d'un test d'autodépistage du VIH, une équipe de recherche composée de cliniciens et
de scientifiques de l'Université d'Ottawa a mis au point GetaKit, une plateforme en
ligne permettant d'accéder à des services de santé sexuelle. Lorsque GetaKit a été
lancé à Ottawa en juillet 2020 grâce à un financement du ministère de la Santé de
l'Ontario, ses objectifs étaient de veiller à ce que le dispositif nouvellement approuvé
1) demeure pertinent sur le plan clinique, 2) demeure accessible et 3) lié aux soins.;