Accès à la contraception des jeunes iséroises âgées de 21 à 25 ans ayant recours à
une interruption volontaire de grossesse : étude descriptive réalisée au centre d’orthogénie
du CHU de Grenoble-Alpes - CISMeF
Accès à la contraception des jeunes iséroises âgées de 21 à 25 ans ayant recours à
une interruption volontaire de grossesse : étude descriptive réalisée au centre d’orthogénie
du CHU de Grenoble-AlpesDocument
Titre : Accès à la contraception des jeunes iséroises âgées de 21 à 25 ans ayant recours à
une interruption volontaire de grossesse : étude descriptive réalisée au centre d’orthogénie
du CHU de Grenoble-Alpes;
Description : Accès à la contraception des jeunes iséroises âgées de 21 à 25 ans ayant recours à
l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Objectif. Identifier les motifs d'absence
de contraception chez les jeunes femmes, ainsi que leurs connaissances en matière
de contraception d’urgence, de leur couverture sociale et du remboursement des contraceptifs,
et des différents moyens d’accès à la contraception/suivi gynécologique. Méthodes.
Etude descriptive, monocentrique réalisée au Centre d’Interruption Volontaire de Grenoble
du Centre Hospitalier Universitaire Grenoble-Alpes, du 11 septembre 2017 au 15 janvier
2018. Les données ont été recueillies rétrospectivement par l’intermédiaire d’un auto-questionnaire
anonyme, distribué à 22 femmes âgées entre 21 et 25 ans. Résultats. Nos résultats
montrent que les raisons d’absence de contraception sont très diverses et concernent
aussi bien la situation personnelle de la patiente, les informations concernant la
contraception ou encore l’offre de soin. Les 2 premières raisons citées sont l’appréhension
des effets secondaires (45,5%) et une période de transition entre 2 méthodes contraceptives
(40,9%). Il persiste également une méconnaissance des modalités d’usage de la contraception
d’urgence (CU), des possibilités de remboursement par l’assurance maladie (AM) des
contraceptifs existants, ainsi que des différents dispositifs d’accès à une contraception
et un suivi gynécologique. Conclusion. Il semble donc que le manque global d’informations
sur la contraception explique, en partie, que les jeunes femmes n’utilisent pas de
contraception.;