Libellé préféré : anabolisme;
Synonyme SNOMED : anabolique; biosynthèse;
Identifiant d'origine : F-60010;
CUI UMLS : C0220781;
- Alignements automatiques CISMeF supervisés
- Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- Correspondance SNOMED CT
- Correspondances UMLS (même concept)
- Type(s) sémantique(s)
- Voir aussi inter- (CISMeF)
N2-AUTOINDEXEE
Chondrodysplasies ponctuées : déficit de la biosynthèse du cholestérol et déficit
en arylsulfatase E.
Guide maladie chronique
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3392237/fr/chondrodysplasies-ponctuees-deficit-de-la-biosynthese-du-cholesterol-et-deficit-en-arylsulfatase-e
Ce protocole national de diagnostic et de soins (PNDS) explicite aux professionnels
concernés la prise en charge diagnostique et thérapeutique optimale et le parcours
de soins d’un patient atteint de chondrodypalsie ponctuée par déficit de la biosynthèse
du cholestérol et par déficit en arylsulfatase E. Il a été élaboré par le Centre de
référence des Anomalies du développement et syndromes malformatifs à l’aide d’une
méthodologie proposée par la HAS. Il n’a pas fait l’objet d’une validation par la
HAS qui n’a pas participé à son élaboration.
2022
HAS - Haute Autorité de Santé
France
recommandation pour la pratique clinique
chondrodysplasie ponctuée
chondrodysplasie ponctuée, type 1, liée à l'X
cholestérol
Chondrodysplasie ponctuée
Maladies
arylsulfatases
anabolisme
Maladie chronique
maladie chronique
chondrodysplasie ponctuée
arylsulfatase
précis
cholestérol
maladie chronique
Cholestérol
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N3-AUTOINDEXEE
Gestion de l'usage d'anabolisants en médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03016840
Introduction : l’usage d’anabolisants dans le monde et en France ne cesse de progresser.
Longtemps réservé au milieu sportif et au culturisme il est encore plus présent à
l’heure actuelle chez les adolescents et les jeunes hommes qui les emploient dans
un but esthétique. Sa prévalence est estimée à 3-4%. Les effets secondaires de ces
produits sont nombreux, potentiellement graves et parfois irréversibles. Le dépistage
et la prise en charge de ces patients constituent un véritable enjeu de santé publique.
Les médecins généralistes sont amenés à recevoir ces patients qui consultent souvent
pour des motifs divers et dont la consommation n’est souvent pas annoncée. Tout l’enjeu
doit être de soupçonner cet usage afin de prévenir les complications et de conduire
le patient vers un sevrage mais cette stratégie nécessite une bonne connaissance du
problème de la part des professionnels de santé. Objectifs : l’objectif principal
de l’étude était de recueillir les connaissances et les pratiques de prise en charge
des médecins généralistes concernant les patients usagers d’anabolisants et d’évaluer
les besoins de formation. L’objectif secondaire était de déterminer s’il existait
une différence de connaissance du phénomène et de prise en charge de ces patients
selon que le professionnel était titulaire d’une formation complémentaire en médecine
du sport ou non. Méthode : étude quantitative, descriptive, transversale, par questionnaire,
auprès d’un échantillon de 182 médecins généralistes du Var. Résultats : le taux de
réponse était de 55%. 18% des médecins interrogés étaient titulaires d’un DU/DIU en
médecine du sport. Les connaissances sur les différents produits dopants étaient insuffisantes
puisque 21% des substances citées n’étaient pas des produits dopants et 32% des répondeurs
se disaient incapables de citer un seul produit dopant. Les connaissances concernant
les effets secondaires n’étaient pas acquises non plus. En revanche, la prévalence
était comprise entre 1-10% pour 92% des répondeurs, le sexe masculin était un facteur
de risque pour 97% d’entre eux, tout comme le fait d’avoir moins de 40 ans pour 84%
des répondeurs. 69% des médecins interrogés ne se sentaient pas du tout compétents
(29% pour les médecins du sport 79% pour les autres) et 67% pensaient qu’une formation
serait utile. 41% disaient n’avoir jamais abordé le sujet en consultation pourtant
la prévalence de cet usage est estimé à 3-4% en population générale. 28% des répondeurs
avaient déjà eu une demande de prescription d’anabolisants et 8% avaient accepté.
82% des médecins du sport demandaient des examens complémentaires à ces patients versus
48% chez les autres médecins. 75% des répondeurs proposaient un suivi à ces patients.
Conclusion : la perspective d’une formation plus complète des médecins concernant
l’usage d’anabolisants serait souhaitable. Elle pourrait permettre de mieux dépister
les patients concernés, de limiter les complications liées à cet usage et de guider
les patients vers le sevrage. Le fait d’être titulaire d’une formation en médecine
du sport semble augmenter sensiblement les connaissances et la pertinence de la prise
en charge de ces patients.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
anabolisme
anabolisants
Médecins
médecine générale
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