Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation
du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage
primaire - CISMeF
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation
du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage
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Titre : Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation
du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage
primaire;
Description : Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus
au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie
(test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test
de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la
détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017,
l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant
que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication,
le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH
comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce
contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien
avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant
l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir,
la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge
optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage. Après avoir
procédé à l’analyse des données scientifiques, contextuelles et expérientielles recueillies,
l’INESSS émet une série de recommandations entre autres concernant la trajectoire
de dépistage et l’autoprélèvement.;