Traductions automatiques des définitions par l'ANS : L'allèle humain YES1 de type sauvage est situé dans la région 18p11.31-p11.21 et a
une longueur d'environ 91 kb. Cet allèle, qui code la protéine tyrosine-protéine kinase
proto-oncogène, joue un rôle dans les voies de transduction du signal impliquées dans
la formation des jonctions adhérines et des jonctions gap entre les cellules. L'expression
du gène YES1 est régulée à la hausse dans le cancer du côlon provenant de patients
atteints de maladies inflammatoires de l'intestin.;
Traductions automatiques par l'ANS : Allele wt YES1; oui; Proto-oncogène 1 de la famille Src Tyrosine Kinase wt Allele; P61-OUI.; HsT441; Sarcome à virus oncogène 1 de Yamaguchi v-Yes-1; gène c-yia;
N3-AUTOINDEXEE Parler de spiritualité en phase palliative: oui ? comment ? pourquoi ? https://pepite-depot.univ-lille.fr/RESTREINT/Th_Medecine/2023/2023ULILM132.pdf Contexte : La spiritualité a une place à tenir dans les soins si la prise en charge
se veut globale. Le bouleversement engendré par l’arrivée de la maladie grave et l’arrivée
de la mort rendent les questionnements spirituels encore plus vifs. Cependant, les
médecins généralistes ont des difficultés à trouver leur place dans cette prise en
charge. Et ce d’autant plus que très peu d’outils théoriques ont été validés en France.
Méthode : Etude qualitative observationnelle, avec analyse inductive et thématisation,
à partir d’entretiens individuels semi-dirigé réalisés auprès de médecins généralistes
du Nord et du Pas-de-Calais. Leur recrutement a été fait en variation maximale, jusqu’à
suffisance des données. Une triangulation des chercheurs a été effectuée. Résultats
: Douze entretiens ont été réalisés. Les médecins généralistes considéraient que parler
de spiritualité avait sa place en médecine générale. Les discussions étaient principalement
le fruit d’une initiative lancée par le patient que le médecin devait identifier et
approfondir. Les sujets pouvant amener un tel échange étaient variés. L’attitude d’accueil
et d’écoute dans le suivi avant l’arrivée de la maladie grave favorisait les échanges
à ce propos. S’intéresser à la souffrance spirituelle du patient créait un espace
de parole lui permettant de dire sa souffrance, et pouvait être l’occasion de retrouver
le fil conducteur de son existence afin de réinvestir différemment la vie restante.
Cela pouvait aussi médier une communication entre le patient et ses proches. Enfin,
cela permettait d’ajuster les prises en charge pour qu’elles fassent davantage sens
pour le patient. Conclusion : Si le patient est souvent à l’initiative de la discussion
touchant à la spiritualité, il est nécessaire que le médecin soit sensibilisé à cet
aspect de la santé afin de pouvoir permettre cette espace de parole. 2023 SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation France thèse ou mémoire mutation de la famille des gènes IDH plainte principale causée par un traumatisme mutation du gène ATRX médicaments pris phase d'un essai spiritualité perdus de vue parler amplification du gène EGFR mutation du gène PTEN quel mois est-ce maintenant ? Allèle sauvage YES1 histoire connue de maladie de Kawasaki