En quoi la communication verbale et/ou non verbale participe-t-elle à diminuer l’anxiété
et l’angoisse chez une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer dans un contexte
hospitalier ? - CISMeF
En quoi la communication verbale et/ou non verbale participe-t-elle à diminuer l’anxiété
et l’angoisse chez une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer dans un contexte
hospitalier ?Document
Titre : En quoi la communication verbale et/ou non verbale participe-t-elle à diminuer l’anxiété
et l’angoisse chez une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer dans un contexte
hospitalier ?;
Description : Problématique : L’augmentation du nombre de personnes âgées en tant que bénéficiaires
de soins a été constatée par les membres du groupe de ce travail. L’expérience théorique,
pratique et les données de la littérature ont montré un accroissement du phénomène
de démence dans la population âgée. La maladie d’Alzheimer est, en outre, une des
formes les plus fréquentes de démence. Selon les observations des auteures, la prise
en soins de patients atteints de démence à l’hôpital est très éprouvante et exigeante
pour l’équipe soignante. Plusieurs observations et les données scientifiques affirment
que l’environnement hospitalier peut être une source de confusion et de désorientation
pour les personnes atteintes de troubles cognitifs. Ces constats ont mené les membres
du groupe à se questionner sur les moyens d’atténuer l’anxiété dans un contexte de
soin aigu. Ces réflexions ont fait émerger la question de recherche suivante : « En
quoi la communication verbale et/ou non verbale participe-t- elle à diminuer l’anxiété
et l’angoisse chez une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer dans un contexte
hospitalier ? » Concepts abordés : Afin de mieux comprendre les thématiques de la
question de recherche, les auteures ont abordé les concepts suivants : démence de
type Alzheimer ; communication ; communication dans la maladie d’Alzheimer ; anxiété
et relation d’aide. Dans la partie concepts et champ disciplinaire infirmier, les
membres du groupe ont développé les concepts de « personne », d’« environnement »,
de « santé » et de « soins » en lien avec la problématique questionnée. Dans le cadre
de ce travail, la théorie de l’Human Caring de Jean Watson a été choisie, car elle
est fortement ancrée dans des valeurs humanistes. Méthode : La question a été rédigée
en se basant sur la méthodologie PICOT. Par la suite, les mots clés, leurs synonymes
et les descripteurs pour chaque base de données ont été définis pour pouvoir explorer
les bases de données CINAL, PubMed, MedLine (Ovid) et Psychinfo. Les articles ont
été trouvés selon les critères d’inclusion ont été analysés à l’aide d’une grille
d’analyse (Tétreault, 2013). Résultats : Les résumés des articles choisis et leur
analyse sont décrits dans la partie « Résultats ». L’interprétation de notre analyse
a permis de mettre en évidence plusieurs réponses à notre question de recherche. Toutefois,
les auteures de ce travail ont constaté qu’il existait peu de données dans la littérature
sur la question posée. Néanmoins, quelques résultats ont été mis en avant durant l’analyse
et la synthèse des articles choisis. Conclusion : Dans cette partie, les éléments
facilitants et contraignants ont été décrits. Les membres du groupe ont aussi présenté
les limites et les perspectives de cette recherche. Il a été constaté un manque de
données expérimentales en lien avec la question posée. Il existe néanmoins plusieurs
recherches en lien avec notre question dans le contexte de soins de longue durée;