Description : Lorsque le premier arrêté du 15 mars 2020 sur l’adaptation de prescription et de délivrance
de médicaments a été publié (notamment sur les hépatites), nous avons fait remonter
à la Direction Générale de la Santé et au cabinet du ministre de la santé l’impérieuse
nécessité de le faire pour les traitements de substitution aux opiacés. En effet,
l’inquiétude des patients stabilisés sur la continuité de leur traitement et le temps
passé à refaire des ordonnances tous les 14 jours avec les difficultés d’accueil ne
sont pas propices à répondre aux inquiétudes des personnes concernées. Ce temps pris
ne permet pas d’accueillir les publics non stabilisés qui arrivent en nombre et qui
sont dans des situations complexes. Les équipes médico-sociales sont aussi à juste
titre très sollicitées par les structures sociales et les nouveaux centres d’accueil
mis en place.;