Description : La priorité en matière de dons est celle de l’information. Celle-ci, bien diffusée,
permettrait sans doute d’augmenter les dons. Le médecin traitant a toute sa place
dans cette mission. Une simplification des procédures, une meilleure protection du
donneur d’organes vivant, par l’établissement d’un statut juridique précis du donneur
vivant, permettrait probablement l’augmentation du nombre de donneurs. En conservant
les principes d’anonymat et de gratuité, le défraiement serait à préciser. Il ne serait
pas normal qu’un donneur vivant puisse subir un préjudice pécuniaire lié à un geste
éminemment altruiste. Le Conseil national de l’Ordre préconise de parler préférentiellement
du don d’organes plutôt que du prélèvement.;