Description : Plusieurs études ont admis que les troubles des conduites alimentaires seraient significativement
associés à une fréquence plus élevée de morbidité obstétricale et néonatale durant
la grossesse, de dépression du post-partum, et de difficultés relatives à la mise
en place du lien mère-enfant, particulièrement concernant les rapports à l’alimentation
(pouvant avoir des répercussions à plus ou moins long terme, notamment sur le développement
pondéral des enfants concernés et de leurs rapports tardifs à la nourriture). Il est
incontestable que les femmes atteintes de ces troubles nécessitent un accompagnement
particulier, pluridisciplinaire, aussi bien médical que psychologique, afin d’éviter
et prévenir la survenue de complications de tout ordre. Mais qu’en est-il du savoir
théorique des praticiens dans le domaine de la périnatalité, à ce sujet ? Comment
prennent-ils en charge ces patientes ? Savent-ils les dépister ?Plusieurs études ont
admis que les troubles des conduites alimentaires seraient significativement associés
à une fréquence plus élevée de morbidité obstétricale et néonatale durant la grossesse,
de dépression du post-partum, et de difficultés relatives à la mise en place du lien
mère-enfant, particulièrement concernant les rapports à l’alimentation (pouvant avoir
des répercussions à plus ou moins long terme, notamment sur le développement pondéral
des enfants concernés et de leurs rapports tardifs à la nourriture). Il est incontestable
que les femmes atteintes de ces troubles nécessitent un accompagnement particulier,
pluridisciplinaire, aussi bien médical que psychologique, afin d’éviter et prévenir
la survenue de complications de tout ordre. Mais qu’en est-il du savoir théorique
des praticiens dans le domaine de la périnatalité, à ce sujet ? Comment prennent-ils
en charge ces patientes ? Savent-ils les dépister ?;