INVOKANA (canagliflozine) et INVOKAMET (canagliflozine et metformine) - Risque d'amputation
d'un membre inférieur - CISMeF
INVOKANA (canagliflozine) et INVOKAMET (canagliflozine et metformine) - Risque d'amputation
d'un membre inférieurDocument
Titre : INVOKANA (canagliflozine) et INVOKAMET (canagliflozine et metformine) - Risque d'amputation
d'un membre inférieur;
Sous-titre : destinataires : Professionnels de la santé comprenant les spécialistes en médecine
interne, les endocrinologues, les cardiologues, les néphrologues, les généralistes
ou les médecins de famille, les professionnels de la santé des services d’urgence,
les médecins de soins intensifs, les infirmières spécialisées en diabète et les infirmières
à domicile, les éducateurs agréés en diabète et les pharmaciens.;
Description : Un risque environ deux fois plus élevé, d’amputation chirurgicale d’un membre inférieur
(principalement de l’orteil et de la partie centrale du pied, mais aussi de la jambe)
a été observé dans deux études cliniques à long terme chez des patients atteints de
diabète de type 2 traités par INVOKANA et ayant une maladie cardiovasculaire établie
ou présentant au moins deux facteurs de risque de maladie cardiovasculaire. Il
est recommandé aux professionnels de la santé de : Tenir compte des facteurs
qui dans les antécédents du patient pourraient accroître le risque d’amputation d’un
membre inférieur, avant d’instaurer un traitement par INVOKANA ou INVOKAMET.
Surveiller étroitement les patients qui présentent un risque plus élevé d’amputation.
Conseiller les patients quant à l’importance des soins podologiques préventifs de
routine et d’une hydratation adéquate. Arrêter le traitement par INVOKANA
ou INVOKAMET en cas d’apparition d’une complication importante pouvant précéder l’amputation,
comme un ulcère cutané, une infection, une ostéomyélite ou une gangrène des membres
inférieurs. Les monographies de produits canadiennes seront mises à jour pour
refléter ces renseignements d’innocuité...;