Description : La sélection de potentiels donneurs vivants va devoir prendre en compte les dernières
données parues sur les facteurs de risque de morbi-mortalité des donneurs ayant un
lien de parenté de premier degré avec un patient dont l’étiologie de la maladie rénale
terminale est inconnue et chez les femmes en âge de procréer. Les patients transplantés
rénaux ayant une hépatite C active pourront bénéficier des nouveaux antiviraux sans
risque de rejet aigu. Le génotypage préemptif du CYP3A5 du patient et les formulations
de tacrolimus à libération prolongée devraient permettre la prescription d’une dose
d’emblée adaptée de ce médicament et d’éviter une surexposition, source de néphrotoxicité.
La place de l’évérolimus et du bélatacept dans le panel des traitements immunosuppresseurs
est en cours d’évaluation, selon le risque infectieux et immunologique des patients.;