Libellé préféré : echinococcus;
Identifiant d'origine : L-5B140;
CUI UMLS : C0013506;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Décrit
Type(s) sémantique(s)
Voir aussi inter- (CISMeF)
N3-AUTOINDEXEE
Infections à Echinococcus spp. en France hexagonale : évolution de l’incidence des
nouvelles hospitalisations sur la période 2006-2022
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/19/2024_19_2.html
Introduction – L’échinococcose alvéolaire (EA) est une zoonose due à l’infection de
l’être humain par le parasite Echinococcus multilocularis, et l’échinococcose kystique
(EK) est due à Echinococcus granulosus. Nous avons utilisé les données du Programme
de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) pour analyser les tendances géographiques
et temporelles de l’incidence de nouveaux cas hospitalisés avec échinococcose en France
hexagonale. Méthodes – Les patients avec au moins un diagnostic codé par la Classification
internationale des maladies, version 10 (CIM-10), d’infection à Echinococcus entre
2006 et 2022, ont été différenciés entre infections à Echinococcus multilocularis
(EA), Echinococcus granulosus (EK) ou Echinococcus sans précision de l’espèce (Esp).
L’incidence annuelle correspondait au nombre de nouveaux cas hospitalisés avec une
infection à Echinococcus chaque année, rapporté à la population. Les évolutions de
l’incidence ont été analysées par régression linéaire. Résultats – Au total 4 454
patients ont été inclus : 407 patients EA, 1 546 patients EK, 160 patients avec codages
EA et EK, et 2 341 patients Esp. Les patients EA étaient principalement identifiés
en Bourgogne-Franche-Comté, Grand Est et Auvergne-Rhône-Alpes. L’incidence annuelle
moyenne dans l’Hexagone était de 0,04 cas hospitalisés/100 000 habitants, en diminution.
La majorité des patients EK résidaient en Île-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte
d’Azur et Grand Est. L’incidence annuelle moyenne était de 0,14/100 000 habitants,
en diminution. Conclusion – Les tendances nationales montraient une diminution du
nombre de nouveaux cas hospitalisés avec une EA ou une EK entre 2006 et 2022. Aucune
région ne présentait d’augmentation de l’incidence de cas hospitalisés. Des imprécisions
et possibles erreurs de codage des diagnostics limitent l’interprétation des diminutions
observées.
2024
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
incidence
maladie infectieuse
français
France
hospitalisation
Echinococcus
syndrome post-phlébitique
Périodique
infections
echinococcus
hospitalisation
échinococcose
syndrome post-poliomyélitique
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N3-AUTOINDEXEE
Surveillance du ver solitaire Echinococcus chez les coyotes et les chiens domestiques
à Winnipeg, au Manitoba
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2019-45/numero-7-8-4-juillet-2019/article-1-ver-solitaire-echinococcus-coyotes-domestiques.html
Contexte : L’espèce Echinococcus, qui comprend E. multilocularis et E. canadensis,
se compose de vers solitaires qui infectent surtout les canidés tels que les chiens,
les renards et les coyotes, mais les humains sont également à risque. Chez l’humain,
le ver solitaire E. multilocularis peut provoquer l’échinococcose alvéolaire, soit
un trouble grave qui imite la malignité métastatique et présente un pronostic sombre.
On sait que les coyotes en région rurale du Manitoba sont infectés par des espèces
de ver solitaire Echinococcus, mais on ignore si les coyotes des zones périurbaines
le sont également. Objectifs : Consigner et cartographier les espèces de ver solitaire
Echinococcus chez les canidés sauvages et chiens domestiques à Winnipeg, au Manitoba
(Canada).
2019
RMTC
Canada
article de périodique
Domestication
organisation et administration
espèces canines
echinococcus
taeniase
taenia
echinococcus
canis latrans
coyotes
manitoba
chiens
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