N3-AUTOINDEXEE Lesquelles des gonadotrophines sont le meilleur choix pour stimuler l'ovulation chez
les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ? https://www.cochrane.org/fr/CD010290/CENTRALED_lesquelles-des-gonadotrophines-sont-le-meilleur-choix-pour-stimuler-lovulation-chez-les-femmes Principaux messages Chez les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques
(SOPK), il pourrait y avoir peu ou pas de différence entre les gonadotrophines d’origine
urinaire (dérivées de l'urine de femmes ménopausées) et l'hormone folliculo-stimulante
recombinante (développée à l'aide de la technologie de l'ADN recombinant) en ce qui
concerne les naissances vivantes, la grossesse multiple (jumeaux ou triplés), la grossesse
ou les taux de fausses couches. Pour la gonadotrophine ménopausique humaine (également
dérivée de l'urine de femmes ménopausées) par rapport à l'hormone folliculo-stimulante
urinaire purifiée, nous ne sommes pas certains si l'une ou l'autre améliore ou réduit
les chances d'une naissance vivante, d'une grossesse multiple, d'une grossesse ou
d'une fausse couche. Chez les femmes qui ne conçoivent pas après avoir pris du citrate
de clomifène, les gonadotrophines entraînent probablement un plus grand nombre de
naissances vivantes et de grossesses par rapport au traitement continu au citrate
de clomifène, sans augmenter le risque d'avoir des jumeaux ou des triplés. Les gonadotrophines
pourraient augmenter le risque de fausse couche. 2025 Cochrane Royaume-Uni revue de la littérature résumé ou synthèse en français comportement de choix gonadotrophines Ovulation Femmes gonadotrophines stimulateur ovulation syndrome des ovaires polykystiques induction d'ovulation maladie ovaires polykystiques