Libellé préféré : oestrogène;

Synonyme SNOMED : estrogène;

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N2-AUTOINDEXEE
Étude et réflexion sur l’influence de l’exposition œstrogénique, au court de la vie d’une femme en âge de procréer, sur la survenue d’un évènement thromboembolique veineux
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02079638/document
Introduction : La maladie thromboembolique veineuse (MTEV) est un évènement rare chez la femme en âge de procréer (0,5/1000 années-femmes) dont les facteurs causaux restent « classiquement » la contraception œstroprogestative (COP), la grossesse et la période du post-partum. Notre expérience dans le service Post-Urgences et Thérapeutique du CHU de Clermont-Ferrand interroge sur la réalité de cette affirmation. Ainsi, nombre de femmes admises pour un épisode aigu de MTEV ont été exposées antérieurement et pendant de nombreuses années à une COP sans pour autant connaître une complication thromboembolique veineuse ; d’autres encore n’y avaient jamais été exposées. Matériel et Méthode : Étude observationnelle, rétrospective, mono centrique et descriptive, portant sur 65 femmes en âge de procréer, prises en charge pour un épisode aigu de MTEV dans le service Post-Urgences et Thérapeutique entre 2012 et 2018. L’objectif était d’analyser trois paramètres classiquement impliqués dans la genèse de la MTEV : l’exposition œstrogénique antérieure (COP, grossesse, post-partum), l’existence d’une thrombophilie, et l’évaluation du risque de MTEV au moment de la survenue de l’évènement TEV (exposition œstrogénique, situations à risque aiguës ou chroniques). Résultats : Notre étude retrouve que près des deux tiers des femmes étaient sous COP au moment de leur MTEV, soutenant bien son rôle important dans la survenue d’une thrombose veineuse. Mais pour seulement 11 % d’entre elles, la COP était le seul facteur de risque pouvant être incriminé (5,9% si on considère l’âge supérieur à 40 ans comme un facteur de risque). Ainsi le rôle de la COP est certes important, mais son imputabilité parfois « trop exclusif » pourrait être remise en question. Dans notre série, les femmes avec une MTEV sous COP sont des femmes plus jeunes (moins de 30 ans), qui la font pour un délai d’exposition plus court à la COP (156 mois vs 290 mois d’intervalle entre la 1ère exposition et la survenue de la MTEV). La durée d’exposition cumulée à une « ambiance œstrogénique » ne parait pas influer la survenue d’une MTEV, même si l’exposition liée à la procréation est significativement moins importante chez ces dernières (4 mois vs 26 mois). Bien que ces facteurs soient impliqués dans près de 50% des MTEV, le poids porté par les thrombophilies héréditaires et les situations à risque aiguës ne semblent pas plus important lorsque ces éléments sont associés à une COP. L’exposition à des facteurs de risque chroniques, notamment le tabac et le surpoids, est significativement plus présente dans les MTEV sans COP. Enfin 45% des femmes sous COP ont au plus 1 facteur de risque de survenue de MTEV, quand 77% des femmes sans COP ont au moins 2 facteurs de risque de survenue de MTEV (100% si l’âge 40 ans est pris comme facteur de risque). Conclusion : Le rôle propre de la COP dans la survenue de la MTEV reste indéniable. Il est toutefois rarement isolé, notamment chez les femmes plus jeunes. Une susceptibilité plus importante aux œstrogènes semble être présente chez certaines femmes et semble prépondérante comparée au poids des autres facteurs de risque classiques.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
réflexe
effets de l'exposition à un agent externe
réflexe
oestrogène
thromboembolie
Exposition
Réflexes
Réflexes
oestrogènes
femme âgée
événements de vie
Femelle
collecte de données
thromboembolie
Thromboembolie
âge de début
thromboembolisme veineux
veine, sai
Femelle

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N2-AUTOINDEXEE
La pollution environnementale par les hormones oestrogéniques
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02015768/document
Cette thèse s’intéresse dans un premier temps à la contamination de l’environnement par les hormones oestrogéniques. C’est pourquoi, nous détaillons dans un premier temps les caractéristiques de chacune des hormones, qu’elles soient d’origine naturelle (oestrone, oestradiol et oestriol) ou synthétique (éthinylestradiol) ainsi que les méthodes d’analyse les plus utilisées ; la spectrométrie de masse couplée à la chromatographie phase liquide tout particulièrement. Nous explicitons notamment les aspects quantitatifs de cette pollution, en entrée de station d’épuration, ou à leur sortie. De la même manière, nous résumerons les travaux qui rapportent leur présence dans les eaux de surface et sédiments. Ayant établi leur présence dans l’environnement dans la première partie, nous soulignons, dans un deuxième temps, quel est l’impact de cette pollution auprès des écosystèmes aquatiques et terrestres. A travers l’eau destinée à la consommation humaine, il existerait aussi un éventuel risque pour l’Homme. Enfin, nous évoquons le potentiel effet perturbateur endocrinien des oestrogènes. Pour finir, nous expliquons comment il est possible, à l’heure actuelle, de remédier à cette pollution. Notamment, à travers de nombreux plans environnementaux, lancés par les autorités. Ces dernières mènent des actions pour lutter contre ce type de pollution et aussi, étendre la prise de conscience sur l’enjeu environnemental et sanitaire. Dans les stations d’épuration, de nouveaux traitements voient le jour. Le coût et le manque de recul vis-à-vis de ces dernières technologies freinent néanmoins leurs avancées.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Hormones
pollution de l'environnement
pollution environnementale
Environnement
Environnement et pollution
hormone
oestrogène
oestrogènes
hormones

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29/04/2024


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