Libellé préféré : stigmates;

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N3-AUTOINDEXEE
Contrer le stigmate favorise la prise en charge
https://www.reiso.org/articles/themes/pratiques/11453-contrer-le-stigmate-favorise-la-prise-en-charge
Pour les personnes attirées par les mineur·e·s, l’intérêt d’une intervention de première ligne, en réponse à l’intériorisation d’un stigmate, est avéré. Les travaux de René Knüsel ont inspiré des pratiques d’accompagnement social en la matière.
2023
REISO - Revue d’information Sociale et Santé de Suisse romande
Suisse
information patient et grand public
stigmate
christianisme
gestion des soins aux patients
maïs stigmate
stigmates

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N2-AUTOINDEXEE
Parler de communication de la consommation de substances de manière humaniste, sécuritaire et non stigmatisante
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vie-saine/parler-consommation-substances-maniere-humaniste-securitaire-non-stigmatisante-2019.html
Les personnes qui consomment des substances font l’objet d’une stigmatisation et d’une discrimination très fortes, dans une variété de contextes de la vie quotidienne. Cette stigmatisation liée à la consommation de substances est notamment saillante au sein du système de santé, où elle engendre des soins de santé de piètre qualité, des effets négatifs sur la santé et des iniquités sociales et en matière de santé significatives. Au sein du système de santé, la stigmatisation liée à la consommation de substances se manifeste dans les politiques, les pratiques, la formation, la culture de travail et les aspects relatifs au cadre bâti, de même que dans les interactions entre les utilisateurs de substances et les fournisseurs de services directs.
2020
Gouvernement du Canada
Canada
rapport
humanisme
Communication
stigmate
maïs stigmate
maniérisme
humanisme
stigmates
économie
Communication
parole
christianisme

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N2-AUTOINDEXEE
La stigmatisation de l'excès pondéral par les diététicien-ne-s: est-ce que les actions de sensibilisation permettent de diminuer les comportements potentiellement stigmatisants ? Lesquelles ont le plus d'impacts: travail de Bachelor
http://doc.rero.ch/record/323532?ln=fr
Introduction : L’excès pondéral, qui regroupe le surpoids et l’obésité, atteint de plus en plus de personnes dans le monde. Selon l’OMS, en 2016, plus de 39% des adultes sont en surpoids alors que 13% souffrent d’obésité. La prévalence ne cesse d’augmenter depuis ces dernières décennies et les comorbidités engendrées par cette maladie non transmissible sont nombreuses. Cette population est sans arrêt affublée de préjugés et subit une discrimination au quotidien, même par les professionnels de santé. La stigmatisation (implicite et/ou explicite) de ces personnes est aussi présente auprès des diététicien-n-es. Les conséquences de celle-ci ne sont pas des moindres avec une baisse de l’estime de soi, une augmentation de l’anxiété et de la dépression qui tendent à maintenir l’excès de poids. Afin d’en limiter les impacts, divers programmes de sensibilisation sont érigés. But : Le but principal de ce travail est de diminuer les comportements stigmatisants des diététiciennes diplômé-es lors de la prise en charge de personnes adultes souffrant d’excès pondéral. Pour ce faire, nous avons observé les programmes de sensibilisation sur la stigmatisation concernant l’excès pondéral mis en place auprès de diététicien-n-es en vue d’en évaluer l’effet sur la stigmatisation. Puis, nous avons effectué une analyse des composantes les plus efficaces afin d’établir des propositions concrètes pour la pratique professionnelle. Méthode : Nous avons effectué une revue systématique de la littérature sur les bases de données Pubmed, Cinhal, Banque de Données en Santé Publique (BDSP), Google Scholar et Cochrane. Les mots-clés ainsi que la sélection des articles selon les critères d’inclusion et d’exclusion ont été prédéfinis à l’avance. La qualité a été évaluée selon les critères déterminés par les grilles de qualité de la Haute Ecole de Santé. Les données et différents résultats ont été résumés dans des tableaux récapitulatifs. Résultats : Notre revue incluait cinq études, dont deux essais cliniques randomisés, deux non randomisés et une étude expérimentale non contrôlée. L’analyse de la qualité a révélé que deux articles étaient de qualité positive, deux neutres et un plutôt négatif. Aucune ne regroupait une population unique de diététicien-ne-s mais plusieurs professionnels de santé ou étudiants en santé. Au total, huit questionnaires d’évaluation de la stigmatisation ont été utilisés. La majorité des interventions se déroulaient sous forme de cours multidimensionnels, une seule était sous forme de film. Toutes ont eu un effet positif sur la réduction de la stigmatisation, principalement l’explicite par rapport à l’implicite. Le maintien des résultats dans le temps n’a été évalué que dans une étude et, après 6 semaines, le taux se rapproche de celui de départ. Six questionnaires ont démontré un résultat significatif quant aux taux de stigmatisation de la population étudiée. Conclusion : Des interventions auprès des professionnels de santé, dont les diététicien-ne-s, sont nécessaires pour diminuer la stigmatisation de l’excès pondéral. Il est primordial qu’ils soient sensibilisés à cette problématique pour améliorer leur prise en charge. De plus, les actions devraient être plus soutenues (théorie, mise en situation, exercice, témoignages, durée et intervenants) afin de pouvoir diminuer les deux types de stigmatisation et les maintenir dans le temps. De nouvelles études sur le sujet permettraient de compléter les données actuelles
2018
RERO DOC - Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale
Suisse
thèse ou mémoire
hypersensibilité
travail
stigmate
stigmates
comportement
nutritionnistes
Travail
métier
diététiciens
excès pondéral
comportement
potentiels d'action
surpoids
maïs stigmate
christianisme

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24/04/2024


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