Description : Diabète, maladies métaboliques, autisme, subfertilité, néoplasies… La science a atteint
un niveau de preuve indiscutable concernant le rôle important des perturbateurs endocriniens
dans les pathologies de civilisation. Cependant, il faudrait des années pour déterminer
avec précision la part de responsabilité de chaque molécule chimique. Peut-on se permettre
d’attendre ? De nombreux scientifiques tirent la sonnette d’alarme. Un premier article
concernant les risques liés aux perturbateurs endocriniens avait été publié dans la
RMG de mars 2021. Le présent article traitera des conseils à donner aux patients en
consultation pour limiter leur exposition à ces substances. L’accent est mis en particulier
sur la femme enceinte et le jeune enfant.;