Description : Des professionnels de santé et des sociétés savantes ont récemment exprimé leur regret
de ne pas pouvoir prescrire à leurs patients la classe la plus récente des antidiabétiques,
celle des inhibiteurs de SGLT2 ou gliflozines. Selon eux, alors que ces médicaments
représenteraient une avancée pour les patients diabétiques de type 2 et/ou insuffisants
cardiaques, notamment en raison de leurs effets potentiels sur les fonctions cardiaques,
c’est la Haute Autorité de santé (HAS) qui ferait obstacle à leur accès. Or, ce n’est
pas le cas.;