Abord de la sexualité en consultation de médecine générale: Qu'en pensent les patients
considérés comme à risque? Etude quantitative auprès de 500 patients d’un cabinet
de médecine générale du Bas-Rhin - CISMeF
Abord de la sexualité en consultation de médecine générale: Qu'en pensent les patients
considérés comme à risque? Etude quantitative auprès de 500 patients d’un cabinet
de médecine générale du Bas-RhinDocument
Titre : Abord de la sexualité en consultation de médecine générale: Qu'en pensent les patients
considérés comme à risque? Etude quantitative auprès de 500 patients d’un cabinet
de médecine générale du Bas-Rhin;
Description : Introduction : les recommandations de dépistage du VIH demandent de cibler les populations
à risque. Or, la sexualité est un domaine dans lequel le médecin ne peut préjuger
de rien. L’objectif de mon étude est de montrer qu’il serait utile que le médecin
généraliste aborde la sexualité avec ses patients. Méthode : Il s’agit d’une étude
quantitative d’épidémiologie descriptive réalisée dans un cabinet de médecine générale
de Bischheim, analysée par statistiques bayésiennes. Résultats : Les patients pensaient
presque tous que le cabinet de médecine générale était adapté pour aborder la sexualité,
pourtant peu en avait déjà parlé au médecin. Ils pensaient n'avoir rien à raconter
sur ce sujet. Les patients homosexuels et ceux ayant des rapports non protégés avec
des partenaires occasionnels ne parlent pas plus de sexualité à leur médecin que l'échantillon
total. Conclusion : Il est important que les médecins généralistes abordent le sujet
avec leurs patients.;