Description : La recherche aura lieu, quoi qu’il en soit, ne serait-ce qu’à travers l’évolution
probable de la loi française actuelle, et dans d’autres pays européens. Elle doit
alors être nécessairement encadrée par le droit et l’éthique médicale, notamment au
nom du respect de l’embryon. Le Conseil national de l’Ordre des médecins estime que,
dans l’hypothèse où les conditions relatives aux recherches sur l’embryon et les cellules
souches tendraient à s’élargir, l’article L2151-7-1 du code de la santé publique,
qui s’apparente à une clause de conscience, devrait être maintenu ou reconduit.;