Description : Contexte : Suite au vieillissement de la population et à l’accompagnement des maladies
chroniques, un nombre croissant de patients sont dans l’attente d’une greffe d’organe.
En France, le taux de refus de prélèvement d’organes est stable depuis l’avènement
de la greffe. Il se situe autour des 30%. Ce problème a fait l’objet d’une révision
de la loi relative au consentement présumé au don d’organes (DO) en 2017. Objectif
: L’objectif était de s’intéresser aux raisons de ce refus dans le but de proposer
de nouveaux moyens simples qui permettraient sa diminution à plus ou moins long terme.
Secondairement d’évaluer si la nouvelle loi santé de 2017 avait été comprise;