Description : Cette étude présentant de réelles limites méthodologiques n’apporte pas d’élément
neuf renforçant l’indication ou la prescription banalisée d’une insuline glargine,
ni d’argument nous aidant à mieux impliquer le pharmacien dans notre contexte de soins.
La difficulté de trouver, au-delà d’interventions ponctuelles, des modèles de soins
capables de maintenir des résultats à long terme avec des bénéfices cliniques réels
pour les patients (critères de jugement forts), dans le traitement de maladies chroniques
comme le diabète de type 2 reste considérable.;