N2-AUTOINDEXEE PRIMAQUINE (primaquine phosphate) - Paludisme Décision d'accès précoce https://www.has-sante.fr/jcms/p_3318397/fr/primaquine-primaquine-phosphate-paludisme https://www.has-sante.fr/jcms/p_3318405/fr/decision-n-2022-0065/dc/sem-du-17-fevrier-2022-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-portant-autorisation-d-acces-precoce-de-la-specialite-primaquine Autorisation d’accès précoce octroyée le 17 février 2022 à la spécialité PRIMAQUINE
(primaquine phosphate) dans l'indication « traitement radical (prévention des rechutes)
du paludisme à Plasmodium vivax et Plasmodium ovale, à la suite d’un traitement schizonticide
érythrocytaire » 2022 false false false France avis de la commission de transparence primaquine primaquine paludisme Paludisme phosphate de primaquine phosphate paludisme paludisme paludisme Paludisme
--- N3-AUTOINDEXEE Utilisation de la primaquine à visée « altruiste » contre le paludisme à Plasmodium
falciparum en Guyane http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=631 Depuis 2015, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dans l’objectif d’élimination
du paludisme, recommande le traitement systématique par une dose unique de primaquine
de tous les patients atteints de paludisme à Plasmodium falciparum en même temps que
le traitement par les composés à base d’artémisinine. Le HCSP propose que cette stratégie
soit appliquée en Guyane, comme elle l’est déjà dans les pays limitrophes. Il recommande
que la primaquine soit prescrite à la dose de 0,25 mg par kg, adaptée au poids chez
l’enfant de plus d’un an ou de plus de 10 kg. L’utilisation de la primaquine monodose
nécessite : un dépistage préalable d’anémie, quand cela est réalisable ; avec
une utilisation différée quand le taux d’hémoglobine est inférieur à 8 g/dL ;
un report de prescription quand le patient présente un déficit en G6PD connu ;
une information systématique des patients sur le risque de survenue d’une anémie hémolytique,
ses symptômes et sur l’importance du suivi ; une proposition de rendez-vous de
consultations de suivi. Le HCSP préconise que les sites d’orpaillage fassent l’objet
de mesures spécifiques pour éviter notamment le développement de résistance aux médicaments
antipaludiques. Il recommande qu’un suivi épidémiologique de la mise en œuvre et de
l’impact de ces mesures soit réalisé sur tout le territoire de la Guyane. 2017 false false false HCSP - Haut Conseil de la Santé Publique France français information scientifique et technique guyana paludisme à plasmodium falciparum paludisme paludisme primaquine primaquine paludisme à plasmodium falciparum