Libellé préféré : néoplasme neuroendocrine gastro-intestinale;

Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Le néoplasme avec différenciation neuroendocrinienne provenant du système digestif. Il comprend des tumeurs neuroendocrines (tumeurs endocrines bien différenciées ou carcinoïdes et carcinomes endocrines bien différenciés) et les carcinomes neuroendocrines (carcinomes neuroendocrines peu différenciés, carcinomes à petites cellules, carcinomes neuroendocrines à grandes cellules).;

Traductions automatiques par l'ANS : Néoplasme neuroendocrine de l'appareil digestif; Néoplasme neuroendocrine du système gastro-intestinal; Néoplasme neuroendocrine gastroentéropancréatique; Néoplasme neuroendocrine gastro-intestinal;

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Néoplasies Neuroendocrines digestives
https://www.snfge.org/tncd/neoplasies-neuroendocrines-digestives
Les Néoplasies Neuroendocrines (NNE) primitives peuvent se développer aux dépens de n’importe quel organe du système digestif. Les données épidémiologiques européennes les plus récentes (1995-2018), issues du registre épidémiologique Anglais (NCRAS), montrent que les NNE digestives les plus fréquentes sont celles développées aux dépens de l’intestin grêle (taux d’incidence normalisé selon l’âge d’environ 1,45/100 000/an), du pancréas ou de l’appendice (environ 0,95/100 000/an chacune), puis de l’estomac ou du rectum (environ 0,45/100 000/an chacune) (White et al. 2022). Les autres localisations telles que l’œsophage, le foie ou les voies biliaires, sont exceptionnelles. L’incidence des NNE digestives a connu une augmentation constante lors des deux dernières décennies (x3,7), possiblement en rapport avec de meilleures méthodes diagnostiques, les nouvelles classifications de l’OMS et une meilleure connaissance de ces tumeurs (Hallet et al. 2015; White et al. 2022). Les NNE digestives présentent une hétérogénéité marquée, notamment concernant la présence ou non de symptômes (qu’ils soient liés à une sécrétion hormonale ou non), le stade au diagnostic, l’existence ou non d’une prédisposition héréditaire, le statut fonctionnel et l’expression des récepteurs de la somatostatine (SST). Leur pronostic est très variable et est influencé principalement par la différenciation histologique (par définition, les tumeurs neuroendocrines (TNE) sont bien différenciées et les carcinomes neuroendocrines (CNE) sont peu différenciés), mais également par l’index de prolifération Ki-67, le stade tumoral et l’organe d’origine. Il n’existe néanmoins pas de classification pronostique au stade métastatique, hormis la distribution de l’extension métastatique (Bierley et al. 2017).
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SNFGE - Société Nationale Française de Gastro-entérologie
France
tumeurs neuroendocrines
tumeurs de l'appareil digestif
néoplasme neuroendocrine gastro-intestinale
néoplasme neuroendocrine gastro-intestinale
néoplasme neuroendocrine gastro-intestinale
continuité des soins
néoplasme neuroendocrine gastro-intestinale
métastase tumorale
néoplasme neuroendocrine gastro-intestinale
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04/05/2024


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