" /> Quel est l’effet des interventions pour la perte de poids sur les symptômes et les marqueurs biologiques du syndrome de l’ovaire polykystique ? - CISMeF





Titre : Quel est l’effet des interventions pour la perte de poids sur les symptômes et les marqueurs biologiques du syndrome de l’ovaire polykystique ?;

URL : https://minerva-ebp.be/FR/Article/2452

Description : Analyse de Scragg J, Hobson A, Willis L, et al. Effect of weight loss interventions on the symptomatic burden and biomarkers of polycystic ovary syndrome: a systematic review of randomized controlled trials. Ann Intern Med 2024;177:1664-74. DOI: 10.7326/M23-3179 Question clinique Chez les adultes présentant un syndrome de l’ovaire polykystique (SOPK) , quel impact ont les interventions orientées sur la perte de poids (changements dans le comportement alimentaire ou l’activité physique, pharmacothérapie, chirurgie bariatrique ou une combinaison d’elles), comparées avec absence d’intervention (placebo), interventions habituelles dans le SOPK (metformine, contraception orale, recommandations standard) ou interventions de basse intensité (recommandations standard sans soutien additionnel), sur les marqueurs métaboliques, hormonaux et gynécologiques du SOPK ? Conclusion Cette revue systématique avec méta-analyse montre que les interventions qui visent la perte de poids sont associées à des améliorations sur les symptômes et des marqueurs biologiques chez les femmes avec un SOPK, mais quand des analyses de sensibilité excluant les études à haut risque de biais ont été réalisées, les différences dans HOMA-IR, l’insuline à jeun et la fréquence menstruelle n’étaient plus statistiquement significatives. Les limites méthodologiques relevées telles qu’une proportion substantielle des études incluses présentant un risque de biais élevé ou incertain et certaines sources d'hétérogénéité demeurant inexpliquées suggèrent que les effets des interventions analysées varient considérablement. La majorité des études incluses dans la revue ont une durée inférieure à six mois ce qui restreint la capacité à évaluer les effets à long terme.;

Année : 2025;

Détails


Type(s) de ressource(s) :

Indexation :

Spécialité(s) : *********endocrinologie
******gynécologie
***médecine fondée sur des faits
***oncologie
***pédagogie médicale
***physiologie
***étudiant

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14/10/2025


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