Description : Depuis peu au Québec, les soignants sont autorisés, à certaines conditions, à mettre
fin à la vie d’une personne ou à y participer. Peu de soignants ont vécu cette expérience
et les milieux de soins sont encore en processus d’adaptation. Mon mémoire porte sur
l’expérience de douze personnes ayant participé au cheminement d’une même demande
d’aide médicale à mourir (« AMM ») complexe, de sa réception à son acceptation: membres
de l’équipe traitante, membres d’un GIS (Groupe interdisciplinaire de soutien), médecins
et gestionnaires d’établissement;