Description : Si les troubles cardiovasculaires, métaboliques et neurologiques induits par les antipsychotiques
sont bien identifiés, les troubles digestifs graves sont eux souvent sous-estimés
et banalisés. Pourtant, environ 40% des patients schizophrènes souffriraient de constipation.
En outre, ces symptômes peuvent s’aggraver et devenir de réelles urgences somatiques
avec mise en jeu du pronostic vital. Ainsi, le but de ce travail est d’évaluer et
caractériser tous les cas français de troubles digestifs graves induits par les neuroleptiques;