Description : Contexte : La transplantation cardiaque est devenue une intervention utile et bien
acceptée pour traiter l'insuffisance cardiaque en phase terminale. Le rejet de greffe
du cœur par le corps du receveur est un risque pour la réussite de la procédure, et
l’'immunosuppression à vie est nécessaire pour éviter tout rejet. Des preuves claires
sont nécessaires afin d'identifier le traitement immunosuppresseur le plus sûr et
le plus efficace pour les receveurs de greffe cardiaque. À ce jour, il n'existe aucun
consensus sur l'utilisation d’anticorps immunosuppresseurs contre les cellules-T pour
l’induction suite à une transplantation cardiaque. Objectifs : Examiner les effets
bénéfiques et néfastes, la faisabilité et la tolérance de l’induction d’anticorps
immunosuppresseurs à cellules-T par rapport à un placebo, à l'absence d'induction
d'anticorps, ou à un autre type d'induction d'anticorps pour les receveurs de greffe
cardiaque. ;