N3-AUTOINDEXEE Prévention par immunisation passive de l’infection au virus respiratoire syncytial
chez les nourrissons https://www.cfp.ca/content/70/11-12/e187 Objectif Assister les médecins de famille dans leurs discussions avec les patients
concernant les immunisations contre le virus respiratoire syncytial (VRS). Sources
de l’information Les renseignements sont tirés : d’une recherche documentaire sur
le fardeau de la maladie causée par le VRS chez les nourrissons; d’études observationnelles;
d’essais randomisés contrôlés; des données probantes présentées par des agences d’examen;
des monographies des produits; et des déclarations du Comité consultatif national
de l’immunisation. Message principal Trois options sont maintenant disponibles pour
prévenir la maladie sévère causée par le VRS chez les nourrissons : l’anticorps monoclonal
palivizumab, l’anticorps monoclonal à action prolongée nirsevimab et le nouveau vaccin
VRSpreF administré durant la grossesse. Seulement un petit nombre de nourrissons à
risque élevé d’une infection grave au VRS sont admissibles à recevoir le palivizumab.
Le nirsevimab a reçu l’autorisation de Santé Canada pour tous les nourrissons, et
le VRSpreF est homologué pour toutes les femmes enceintes et les personnes enceintes.
Il y a de nombreux facteurs à prendre en considération dans l’utilisation de chacun
des produits, notamment : l’autorisation; la disponibilité; le moment de l’administration;
l’état de santé et les déterminants sociaux de la santé du nourrisson; l’efficacité
et l’efficience; l’innocuité; la préférence du patient; et le coût. Le Comité consultatif
national de l’immunisation a récemment publié des conseils sur l’utilisation des produits
immunisants contre le VRS chez les nourrissons. 2024 Le Médecin de Famille Canadien Canada article de périodique nourrisson infections à virus respiratoire syncytial immunisation passive immunisation passive infection à virus respiratoire syncytial Prévention des infections