Particules en suspension dans l’air : une estimation du fardeau sanitaire deux fois
plus importante que les précédentes pour les PM2,5 issues de la combustion des énergies
fossiles - CISMeF
Particules en suspension dans l’air : une estimation du fardeau sanitaire deux fois
plus importante que les précédentes pour les PM2,5 issues de la combustion des énergies
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Titre : Particules en suspension dans l’air : une estimation du fardeau sanitaire deux fois
plus importante que les précédentes pour les PM2,5 issues de la combustion des énergies
fossiles;
Description : En 2014, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) indiquait que la pollution atmosphérique
était responsable annuellement de 7 millions de décès à travers le monde [1]. En 2015,
les travaux du Global Burden of Disease précisaient que 4,2 millions de décès (soit
7,6 % du total des décès dans le monde) et 103,1 millions d’années de vie corrigées
de l’incapacité (DALY) étaient chaque année attribuables aux particules fines PM2,5
[2]. Une étude récente [3] indique, quant à elle, que les seules PM2,5 issues spécifiquement
des sources de combustion d’énergies fossiles seraient responsables à travers le monde,
chaque année, de 10,2 millions de décès anticipés, soit plus du double des résultats
précédents. L’Asie, mais aussi les États-Unis et l’Europe, subissent les plus forts
impacts.;