" /> Activité physique et santé : le paradoxe « progrès des connaissances » et « faible pratique d’activité physique » en France - CISMeF





Titre : Activité physique et santé : le paradoxe « progrès des connaissances » et « faible pratique d’activité physique » en France;

URL : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2020/HS/2020_HS_0.html

Description : Les bénéfices de la pratique d’une activité physique (AP) – adaptée si nécessaire – l’emportent sans conteste sur les risques encourus, quels que soient l’âge et l’état de santé. L’AP est un comportement et un mode de vie d’autant plus facile à maintenir qu’elle aura été démarrée dès l’enfance. Néanmoins, de nombreux facteurs (individuels, interpersonnels, environnementaux, politiques, contextuels) influencent sa pratique et son maintien. Dans tous les cas, il n’est jamais trop tard pour bénéficier des effets d’une pratique régulière, en prévention primaire, secondaire et tertiaire. En France, les résultats de l’étude Inca3 rendent compte de niveaux d’AP en population générale faibles (45% des hommes et 55% des femmes inactifs) et d’une sédentarité élevée, ainsi que d’une dégradation quasi-générale de ces indicateurs depuis 2006. Chez les patients ayant une maladie chronique, le niveau d’AP est encore inférieur avec en moyenne 61 minutes/semaine en moins d’AP d’intensité modérée par rapport aux sujets en bonne santé (cohorte de l’UK Biobank ; AP mesurée par accéléromètrie). Inactivité physique et sédentarité sont des facteurs de risques de morbidité et de mortalité prématurée et d’aggravation de ces pathologies chez les malades. À cela, il faut rajouter le coût économique de ces maladies chroniques, estimé à 1% du PIB.;

Année : 2020;

Détails


Type(s) de ressource(s) :

Indexation :

Spécialité(s) : ***rhumatologie
***physique

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09/05/2025


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