Description : En 2014, un premier inhibiteur de PARP a obtenu une autorisation de mise sur le marché
(AMM) européenne en traitement d’entretien des patientes atteintes d’un cancer de
l’ovaire récidivant, porteuses d’une mutation du gène BRCA (germinale et/ou somatique)
et en réponse complète ou partielle à une chimiothérapie à base de platine. Depuis
cette date, la présence d’une mutation des gènes BRCA1 et BRCA2 conditionne la prescription
de certains traitements. Du fait de la portée familiale majeure des tests génétiques
BRCA à mettre en oeuvre dans ce contexte, l’Institut national du cancer a publié en
janvier 2017 des préconisations pour définir le parcours en génétique oncologique
des personnes malades potentiellement éligibles à un traitement par inhibiteur de
PARP.;