Les greffes d'organes : les prélèvements sur donneurs décédés après arrêt cardiaque
- Compte rendu de l'audition publique du 7 février 2013 et de la présentation des
conclusions le 10 juillet 2013 - CISMeF
Les greffes d'organes : les prélèvements sur donneurs décédés après arrêt cardiaque
- Compte rendu de l'audition publique du 7 février 2013 et de la présentation des
conclusions le 10 juillet 2013Document
Titre : Les greffes d'organes : les prélèvements sur donneurs décédés après arrêt cardiaque
- Compte rendu de l'audition publique du 7 février 2013 et de la présentation des
conclusions le 10 juillet 2013;
Description : En France, le nombre de patients en attente d'une greffe d'organe est en augmentation,
en dépit de la progression du nombre de greffes. Compte tenu de ce constat, l'audition
organisée par l'OPECST a pour objet d'explorer les moyens éthiques, réglementaires
et techniques visant à développer les prélèvements d'organes sur les donneurs ayant
subi un arrêt. Ce prélèvement est déjà autorisé en France, quand l'arrêt cardiaque
survient de façon inopinée, et à condition d'utiliser les moyens appropriés pour éviter
les conséquences de l'ischémie, et en cherchant à remplir toutes les obligations réglementaires
et éthiques en particulier vis-à-vis des familles. Il reste une catégorie qui pour
l'instant en France n'a pas été l'objet d'avancées, mais a été utilisée dans plusieurs
autres pays européens et aux États-Unis : c'est le prélèvement sur une personne décédée
après un arrêt cardiaque contrôlé, qui n'est pas inopiné et survient lorsque la décision
a été prise d'arrêter les mesures de réanimation jugées sans objet et sans espoir.;