Une ligne d’écoute pour médecins en souffrance
La Croix
24/9/13
C’était en avril 2010. Un anesthésiste de 31 ans, chef de clinique au CHU de Montpellier, avait mis fin à ses jours. Trois mois plus tôt, ce jeune médecin avait reconnu une erreur médicale ayant conduit à la paralysie d’un nourrisson de 6 mois. Son suicide avait provoqué un large émoi au sein de la communauté des anesthésistes-réanimateurs.
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