L'hommage fait ici à l'illustre élève de Freud est introduit par des «propos inédits» de Imre Hermann, élève de Ferenczi et vénérable chef actuel de l'Ecole hongroise de psychanalyse, la seule qui subsiste dans les pays de l'Est. Suivent deux conférences inédites du Ferenczi d'avant Freud. Marie Bonnafé s'interroge ensuite sur les apports de Ferenczi à la clinique psychanalytique. Suivent des considérations sur Ferenczi et les femmes, Ferenczi mythologue, la théorie du traumatisme, la mère cloacale (Thalassa). Ce tribut se conclut par une étude de Claude Lorin sur Ferenczi traducteur et interprétant.