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Quel est le risque propre au patient en transplantation d'organe solide ?

Auteurs : PARQUIN F1
Affiliations : 1Service de Réanimation Pulmonaire - Centre Chirurgical Marie Lannelongue, Le Plessis Robinson, France
Date 2000, Vol 8, Num 6, pp 357-363Revue : Hygiènes : revue officielle de la Société française d'hygiène hospitalière
Résumé

Parmi les infections opportunistes, les aspergilloses invasives (AI) occupent une place particulière après transplantation d'organe solide du fait de leurs difficultés diagnostiques, thérapeutiques et de leur extrême gravité. Elles surviennent surtout dans les trois premiers mois post-greffe, et sont plus fréquentes après transplantation pulmonaire. L'analyse de la littérature est complexe et rend toute conclusion formelle difficile. Cependant on peut retenir que les corticoïdes à fortes doses, les anticorps antilymphocytaires tels qu'utilisés dans les années 80 favorisaient très probablement la survenue d'AI. En transplantation hépatique, la gravité de l'état du patient en préopératoire, les difficultés per-opératoires ainsi que des suites difficiles sont aussi les facteurs favorisants. Le rôle du Cytomegalovirus est souligné par les études post-transplantation hépatiques et pulmonaires.

Mot-clés auteurs
Appareil respiratoire; Aspergillose; Epidémiologie; Facteur risque; Homme; Organe; Santé publique; Transplantation;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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PARQUIN F. Quel est le risque propre au patient en transplantation d'organe solide ?. Hygiènes : revue officielle de la Société française d'hygiène hospitalière. 2000;8(6):357-363.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 11/08/2017.


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