Si l'on considère que le fondement de toute alternative à l'hospitalisation est d'éviter la rechute et de gérer la crise, l'hospitalisation apparaît alors comme un échec de l'alternative. Or les alternatives et les nouvelles stratégies ne doivent pas faire oublier la pathologie déficitaire. Elles ne peuvent exister sur le déni systématique des patients chroniques pour lesquels tout reste à inventer.