La souffrance du frère ou de la soeur de l'enfant handicapé est peu prise en compte, par les parents ou par les professionnels. L'enfant qui va bien est porteur de sentiments ambivalents, souvent non recevables par l'entourage. Plus tard, devoir choisir le tuteur de la personne handicapée vient réactiver ce qui, faute d'interlocuteur, n'a pu être élaborer au cours de l'enfance. (R.A.).