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Xénogreffe : des risques à soupeser

Auteurs : OTCHET ADate 2000, Num 3, pp 37-39Revue : Le Courrier de l'Unesco
Résumé

Les transplantations d'organes d'animaux sur les êtres humains pourraient sauver des vies mais risquent de favoriser la transmission de certaines maladies graves. Faut-il poursuivre dans cette voie. Les Etats Unis et le Royaume-Uni, leaders dans le domaine de la xénorecherche, élaborent actuellement des directives pour le suivi non seulement des patients, mais aussi de leur famille et du personnel de santé. Les autorités refusent d'en révéler le détail. On sait néanmoins qu'il est question de recommander aux receveurs de s'abstenir d'avoir des enfants et de se marier. L'OMS et le ministère canadien de la Santé ont ouvert un site, abrité par l'OCDE et destiné à susciter un débat sur la xénogreffe : http://www.oecd.org/dsti/sti/s-t/biotech/xenosite/country.htm.

Mot-clés auteurs
Animal; Biotechnologie; Effet secondaire; Greffe; Recherche; Virus;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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OTCHET A. Xénogreffe : des risques à soupeser. Courr Unesco. 2000;(3):37-39.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 22/08/2017.


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